1 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
1 s accusent de colonialisme. Il est certain que la prétention à une politique indépendante, au plein sens du terme, ne saurait être
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
2 lturelles, idéologiques et religieuses, contre la prétention de l’État-nation à leur monopole absolu. Il faut distribuer les pouvo
3 rmée d’États-nations conservant jalousement leurs prétentions à la souveraineté absolue. Je ne crois pas à cette amicale des misant
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
4 et leur agir concret, non plus dans leurs seules prétentions . Nous verrons aussitôt que tous, sans exception, sont à la fois trop