1 it, comme il arrive, car vous serez Américains ou Soviétiques par allégeance obligatoire, économique, sociale ou idéologique ; – ou

2 ’expiera dans ses vies ultérieures, tandis que le Soviétique , dès cette vie-ci, sera « rééduqué » pour l’avenir collectif. Nous vo

3 d’une grande passion. Enfin, le citoyen du monde soviétique se doit de rejeter avec une horreur officielle l’idée non scientifiqu

4 que de « chimie allemande » ou de « mathématiques soviétiques  », car avant tous ces découpages arbitraires, il y a la grande commun

5 oi sommes-nous choqués par les excès américain et soviétique  ? Pourquoi les ressentons-nous comme des excès ? Sinon parce que le s

6 que se font jour dans la plus récente littérature soviétique des signes non trompeurs d’une nouvelle faim de liberté. J’accorde en

7 lectricité. » Or, le marxisme n’est pas un apport soviétique , ce n’est pas Popov qui l’a inventé, mais bien un Juif allemand, dont

8 erses, selon qu’il s’agit par exemple de l’empire soviétique , du Nigéria ou de la Confédération suisse. Car la double exigence ant

9 Cette politique s’oppose au gigantisme américain, soviétique et capitaliste ; elle s’oppose à l’émiettement social de la démocrati