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i le sentiment d’un destin spirituel commun, et l’
énergie
créatrice des Européens ne sont pas réveillés, les États et l’économi
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ation prendrait trop de temps, demanderait trop d’
énergie
, et soulèverait trop d’opposition. » Ce qui était neuf il y a vingt a
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t bien étouffer ce qu’ils enferment, épuisant ses
énergies
et sa vieille astuce politique en rivalités anachroniques (France — A
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maintenant on les retourne contre nous, avec une
énergie
que nous avons perdue ». Spirituellement conquérante ou décadente, ou
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arrage d’Assouan. On a tout dit sur ses mérites :
énergie
électrique, irrigation, crues du Nil assagies, puissance industrielle
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pe de Carnot et Clausius, sur la dégradation de l’
énergie
, la « flèche du temps » et l’entropie, notions de base qui ont une po
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Fourastié, notamment — que les applications de l’
énergie
nucléaire permettront, vers la fin de ce siècle, de réduire le travai
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est devenu impraticable. Le charbon et l’acier, l’
énergie
électrique, les oléoducs, les matières fissiles une fois mis en commu
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’avion de ligne. Et ce n’est pas la maîtrise de l’
énergie
nucléaire, dont les principes et les brevets étaient déposés dès 1939