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nomique. Voici le fait fondamental qu’énonçait au
congrès
de La Haye le Message aux Européens : « Aucun de nos pays ne peut p
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pour le mois d’août 1947, à Montreux, son premier
Congrès
. Qu’étions-nous à l’époque, il y a un an et demi ? Cent-cinquante à d
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apes du mouvement vers l’Europe unie, à partir du
congrès
de Montreux jusqu’à ceux de La Haye, de Rome et, tout récemment, de B
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ent discernable. De Montreux à Bruxelles Le
congrès
de Montreux n’était pas terminé que l’idée naissait parmi nous d’en é
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ll, avait également l’intention de convoquer un «
Congrès
de l’Europe ». Il ne s’agissait pas, dans son esprit, d’une entrepris
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e leur rencontre à Montreux, que devait sortir le
congrès
de La Haye. Dès l’automne 1947, un Comité de coordination des mouveme
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chevaliers du Parlement néerlandais, s’ouvrait le
Congrès
de l’Europe. Nous étions cette fois-ci plus de huit-cents délégués, p
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fut mis au point très rapidement, au lendemain du
congrès
de La Haye. Par l’intermédiaire de M. Bidault, il fut présenté à la r
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e des fédéralistes réunissait à Rome son deuxième
congrès
annuel. À Montreux, nous avions tenu nos séances dans une modeste sal
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de licteur les grandes lettres du mot Europe. Le
Congrès
fut inauguré en présence de tous les ministres par un discours du pré
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gente conduite par les fédéralistes. Peu avant le
congrès
de Rome, le Comité de coordination des groupements militant pour l’un
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Assemblée au rôle purement consultatif d’un petit
Congrès
d’experts nommés par les gouvernements. Tout le pouvoir, dans ce cas,
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ériter l’adjectif de son titre. C’est pourquoi le
congrès
de La Haye a réclamé l’institution rapide d’un Centre européen de la