1
igions, universités, etc.), le Mouvement européen
défendit
ce point de vue dans son mémorandum du 18 août 1948. C’est ce que la
2
des absurdités officielles. Parmi les mesures que
défendent
la plupart des fédéralistes, signalons l’abaissement progressif des b
3
’il est vrai qu’aucun de nos pays ne peut plus se
défendre
ni subsister seul, au triple point de vue politique économique et mil
4
s plans. Elle a son unité, elle la démontre et la
défend
effectivement, quand elle invente ses formes institutionnelles et pré
5
avec quel succès, contre tout ce qu’il nous faut
défendre
. On peut détester les microbes, mais cette opinion ne les tue pas. Pa
6
en partie fictives : aucun de nos pays ne peut se
défendre
seul plus de quelques heures ; — sectarisme politique, égoïsme à cour
7
le petit groupe qui lui offrira sa protection et
défendra
ses intérêts ? La famille tend à se dissoudre, ou bien elle végète en
8
objet de science, mais un drame. Nous avons à la
défendre
contre la menace totalitaire, contre l’esprit de simplification stéri
9
vinisme culturel — les Français de 1914 croyaient
défendre
la Civilisation contre les Allemands qui croyaient défendre leur Kult
10
a Civilisation contre les Allemands qui croyaient
défendre
leur Kultur — elle se dissipe comme brume au soleil à la lumière de l
11
stion par d’autres disciplines, et qui ne peuvent
défendre
leur « vérité » qu’en se fermant méthodiquement sur elles-mêmes, en a
12
omment les progressistes ; d’autre part, ceux qui
défendent
nos traditions humanistes, s’opposent de toutes leurs forces instinct