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it, tant que l’on n’aura pas abouti à la solution
idéale
, qui serait d’organiser les libertés, c’est-à-dire de les garantir st
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la nôtre, et qui chacune à sa façon, cultivent un
idéal
eudémonique, l’idéal d’un bonheur assuré. Il est frappant que le bonh
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une à sa façon, cultivent un idéal eudémonique, l’
idéal
d’un bonheur assuré. Il est frappant que le bonheur, en Europe n’ait
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h ou de Mozart que nous en possédons la substance
idéale
, que nous en respirons le climat nostalgique. Mais, nous, ici, nous n
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r l’important, c’est que les choses se fassent. L’
idéal
d’un institut comme le nôtre doit être de disparaître une fois que to
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épens du sens civique, d’une part, l’absence d’un
idéal
commun, d’autre part, minent la résistance spirituelle et politique,
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exploités et opprimés retournent contre elle les
idéaux
de liberté et d’égalité qui avaient assuré son prestige. Les progrès
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mes, des capitaux et des marchandises ; enfin ses
idéaux
modernes de progrès matériel et de justice sociale émigrés, laissant
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augmente la difficulté. Et comment vivre sans un
idéal
ou une inspiration quelconque ? Or, tout paraît frappé d’hypocrisie.
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érité et de la créativité du Vieux Monde. Seul, l’
idéal
de la fédération européenne semble répondre à ces trois conditions. D
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le monde entier ; l’exportation pêle-mêle de nos
idéaux
religieux, de nos formes politiques, aussi, et enfin des secrets tech
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devant nos divisions sanglantes, la crise de nos
idéaux
devant la propagande massive des dictatures ; les moyens matériels et
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j’appelle le « désordre établi ». Ces conditions
idéales
n’ont encore jamais été réalisées. La Révolution française a abouti à
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s par là, sa conception de l’homme universel, cet
idéal
capable d’inspirer et d’orienter la pensée, le sentiment et l’action
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-ils encore ? À quelle idée de l’homme, divine ou
idéale
, correspond aujourd’hui l’entreprise de l’Université occidentale ? Qu
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au cours de ces dernières années, non seulement l’
idéal
, mais la revendication parfois bruyante et turbulente de tous les pay
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n sans raison, tinssent à souligner qu’elle était
idéale
et au mieux normative, plutôt que réaliste et descriptive. (Mais n’es
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leurs raisons de la refuser et de lui opposer des
idéaux
nouveaux ; les notions de l’homme, de la liberté ou de l’amour, spéci
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communauté, libre association conclue au nom d’un
idéal
commun qui la garantit, en vue de sauvegarder les autonomies particul