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d’abord l’état réel de la culture en Europe, les
misères
dont elle souffre, les dangers qui la guettent. C’est pourquoi les de
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nt. Il est sans doute plus grave que la somme des
misères
matérielles ou institutionnelles que nous avons énumérées plus haut.
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pes des réformes à proposer. — Presque toutes les
misères
et entraves dont souffre la vie de l’esprit en Europe se ramènent en
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mpereur en versa la moitié, puis se mit à pleurer
misère
. Les riches ne l’aidèrent point, se disant tous ruinés, et refusant d
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se. Fermer les usines condamnerait la vallée à la
misère
. Elle préfère encore la fumée. — Le 20 janvier, pour la quatrième foi
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suscite leur envie. Ils prennent conscience d’une
misère
relative, qui autrefois leur paraissait inévitable, dans l’ignorance
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occidentale fait bien plus que leur révéler cette
misère
relative : dans une mesure sans cesse croissante, elle la crée. Il a
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ident non seulement persuade le tiers-monde de sa
misère
, mais l’aggrave et augmente le déséquilibre entre eux et nous. Tout l
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l’Europe en sont encore réduites à des budgets de
misère
. Signe hélas trop certain que les pouvoirs publics ; les organisation