1
trouvailles. Et j’entends par échecs les impasses
où
il lui arrive de se fourvoyer, comme tout chercheur, bien content si
2
git d’éduquer, et c’est le domaine par excellence
où
patience et longueur de temps font plus que force ni que rage. ⁂ Un d
3
u désespoir, mais il faut aller vite et bien voir
où
l’on va. Tandis que s’esquissent à Strasbourg les cadres politiques d
4
e). II est curieux de constater que dans les pays
où
l’État semble accorder des subsides comparativement importants aux th
5
qu’une fraction dérisoire du budget militaire. Là
où
l’on déclare « ruineux pour l’État » un subside culturel d’un million
6
re qui pourrait devenir dangereuse dans la mesure
où
le parti au pouvoir deviendrait totalitaire. Relevons que dans presqu
7
ur d’université doit avoir la nationalité du pays
où
il enseigne. (Dans les pays de l’Est, la nationalité russe suffit.) C
8
r distinguer les pays totalitaires des autres. Là
où
les agences d’information sont privées — comme dans presque tous les
9
a possibilité, sinon garantie, d’objectivité. Là
où
l’information n’est qu’un service des Affaires étrangères, comme dans
10
e la situation présente à celle d’il y a dix ans,
où
certaines découvertes étaient annoncées par télégramme dans les pério
11
state que « dans un État moderne, non anarchique,
où
existe une ligne de conduite officielle dans la conduite des affaires
12
libre en Occident, c’est peut-être dans la mesure
où
les pouvoirs ne la prennent pas au sérieux, ne lui attribuent aucune
13
ou là ; et elles en vivent encore, dans la mesure
où
elles vivent. L’unité culturelle de l’Europe n’a plus à être faite :
14
ansformer en résistance clandestine ; les régimes
où
les votes sont publics et se font à bulletins ouverts, tandis que les
15
rmées. Europe doit signifier encore cité ouverte,
où
les hommes, les idées et les biens peuvent circuler en liberté. Toute
16
’est pas l’unanimité dans la clameur disciplinée,
où
nul ne reconnaît plus sa propre voix. L’Europe doit être et devenir d
17
être et devenir de plus en plus le lieu du monde
où
la personne humaine puisse encore faire entendre sa voix. Ce principe
18
isif en soi que l’existence même de ce Centre par
où
j’entends que le principal, c’est qu’il y ait en Europe un lieu de pl
19
ipal, c’est qu’il y ait en Europe un lieu de plus
où
des hommes en équipes consacrent leurs efforts, sans relâche, à l’uni
20
à surmonter, ou même s’évanouiront dans la mesure
où
ils consistent en préjugés, aveuglements partisans, méfiances non fon
21
é par agir dans les domaines de la vie culturelle
où
il semblait possible d’obtenir rapidement des résultats concrets. Il
22
de préparer le terrain pour une plus vaste union.
Où
sont les obstacles majeurs à cette union ? On nous répète qu’ils sera
23
créatrice telle que l’on vient de les décrire. D’
où
la question (forme polie d’une objection fondamentale) que l’on nous
24
s pour qu’il y ait quelque part en Europe un lieu
où
l’on se préoccupe de poser les problèmes communs et de grouper ceux q
25
lle-même L’esprit peut-il nous tirer de l’état
où
il nous a mis ? Paul Valéry La maladie de l’esprit européen10
26
Mais cette révolte de la culture contre le monde
où
nous vivons reste sans efficacité directe. Elle n’agit que sur des él
27
ité matérielle et morale, mentale et spirituelle.
Où
trouver le petit groupe qui lui offrira sa protection et défendra ses
28
cepte de mourir que pour des raisons de vivre.
Où
sont les remèdes ? Il serait naïf de supposer que les hommes polit
29
e et pratique, une juste conception de l’homme, d’
où
découleraient des conséquences nécessaires que les experts sauraient
30
hommes. J’entends qu’elle reste le lieu du monde
où
, vertueux ou vicieux, les hommes sont malgré tout les plus différenci
31
vons un prototype, elles produisent des séries. D’
où
résultent pour l’Europe deux conséquences également importantes : une
32
utions totalitaires — sauf dans le plan politique
où
votre unité est faite — s’adresse à vous autant qu’à nous. La tentati
33
elle nous aide et nous anime à mieux comprendre d’
où
nous venons, où nous en sommes, où nous allons… Mais la riposte, ici,
34
t nous anime à mieux comprendre d’où nous venons,
où
nous en sommes, où nous allons… Mais la riposte, ici, transcende le d
35
x comprendre d’où nous venons, où nous en sommes,
où
nous allons… Mais la riposte, ici, transcende le défi. Elle le réduit
36
peignit au seuil de notre siècle, s’intitule : D’
où
venons-nous ? Où sommes-nous ? Où allons-nous ? Je n’imagine pas de m
37
de notre siècle, s’intitule : D’où venons-nous ?
Où
sommes-nous ? Où allons-nous ? Je n’imagine pas de meilleur motto pou
38
s’intitule : D’où venons-nous ? Où sommes-nous ?
Où
allons-nous ? Je n’imagine pas de meilleur motto pour cette table ron
39
er les débats pendant quatre journées mémorables.
Où
en sommes-nous, nous autres Européens de 1953 ? Une phrase prononcée
40
s choses, dans les milieux du Conseil de l’Europe
où
germa, voici quelques mois, l’idée d’une table ronde européenne. La c
41
déjà réalisés. Comment réduire ces résistances là
où
elles sont, dans les esprits et dans les cœurs ? Comment réveiller l’
42
d’orienter l’action prochaine. Pour mieux savoir
où
nous allons, il fallait voir d’abord d’où nous venons. Cette recherch
43
savoir où nous allons, il fallait voir d’abord d’
où
nous venons. Cette recherche des origines communes à tous les peuples
44
d’autre avenir possible que dans l’union. Voilà d’
où
nous venons, et voilà les raisons de craindre et d’espérer que nous p
45
si posé, nous nous sommes tournés vers l’avenir :
où
allons-nous ? Et c’est M. Robert Schuman qui nous a présenté le table
46
de vivre son grand rôle historique dès l’an 1204,
où
l’armée des croisés pilla sa capitale et viola son sanctuaire. Chute
47
tif, de tenter d’agir sur l’époque dans la mesure
où
elle est guidée par des idées, des concepts, des angles de vision qu’
48
Torrey Canyon » perdant son chargement en mer, d’
où
pollution de près de 100 kilomètres de côtes de la Manche ; — le lac
49
a mer »), ou formaient des masses d’eaux boueuses
où
les sardines foisonnaient et un tapis favorable à la vie des crustacé
50
acte que la nouvelle, littéralement, lui donne. D’
où
l’on déduit que, sans agences, il n’y aurait pas non plus de nouvelle
51
s arrêtent une doctrine et un programme précis, d’
où
devait résulter toute l’action ultérieure pour la fédération de l’Eur
52
se voient bientôt conduits dans un ordre d’action
où
ce n’est plus la dent dure mais la vision lucide et la main ferme qui
53
ues, dans la mesure — souvent faible d’ailleurs —
où
nous les modelons sur les faits. Comment mettre un peu d’ordre en ces
54
ue nous décrivent les astronomes contemporains. D’
où
résultent les deux conséquences qui définissent le phénomène de Babel
55
aissance de la réalité de la matière et du corps,
où
Dieu lui-même se manifeste) et le développement des sciences physique
56
spécialisation, mais le pousser jusqu’à ce point
où
l’étude la plus exigeante d’une discipline particulière va déboucher
57
ères spécifiques de notre civilisation, à l’heure
où
elle se répand d’une manière anarchique sur tous les continents de la
58
anarchique sur tous les continents de la planète,
où
le tiers-monde l’interroge avec une anxiété mêlée d’arrogance, tandis
59
port à l’action quotidienne, afin de mieux voir d’
où
elle vient, où elle va, et dans quel ensemble humain elle se situe. J
60
quotidienne, afin de mieux voir d’où elle vient,
où
elle va, et dans quel ensemble humain elle se situe. Je poserai donc
61
dictions morales, intellectuelles et pratiques. D’
où
cela vient-il ? D’où vient cette inquiétude fondamentale ? D’où vient
62
ellectuelles et pratiques. D’où cela vient-il ? D’
où
vient cette inquiétude fondamentale ? D’où vient ce désordre permanen
63
il ? D’où vient cette inquiétude fondamentale ? D’
où
vient ce désordre permanent que les meilleurs esprits déplorent depui
64
s eux-mêmes se déclarent effrayés. Au moment même
où
il voit sa technique et ses valeurs techniques adoptées par le monde
65
onc nos techniques. Mais nos rêves à leur tour, d’
où
viennent-ils ? Ils expriment nos croyances autant que nos instincts,
66
ture, ou pourra l’être. Nous allons vers un temps
où
les loisirs deviendront quantitativement, financièrement, commerciale
67
fois leur paraissait inévitable, dans l’ignorance
où
ils étaient de la simple possibilité d’une vie meilleure ou différent
68
ques politiquement disciplinées, ou même d’écoles
où
ils n’auraient reçu qu’une instruction purement technique. L’ère nouv
69
auf de rares exceptions — de savoir par eux-mêmes
où
il faudrait aider, de quelle manière et pour quelles fins utiles. Pou
70
oit se tourner vers des domaines très différents,
où
il est moins facile de s’orienter. Comment savoir où sont les vrais b
71
il est moins facile de s’orienter. Comment savoir
où
sont les vrais besoins, quelles recherches sont nécessaires, et qui p
72
que confère aux œuvres des contemporains le refus
où
beaucoup les englobent, ne peut donc procéder que d’une méconnaissanc
73
ne jouent plus que les modernes d’autres temps. D’
où
l’aspect forcément étrange que prennent les musiques d’aujourd’hui. D
74
s artistiques et pratiques des nombreux festivals
où
il avait dirigé. Il sentait la nécessité de les amener à coopérer. Il
75
l’accord de ces œuvres avec l’ambiance des lieux
où
elles sont jouées, créant ainsi une atmosphère particulière à laquell
76
correspond à une communauté réelle dont la ville
où
ils se jouent forme le foyer rayonnant. Chacun d’eux tente d’exprimer
77
tuée, manifeste sa vitalité dans la mesure exacte
où
elle sait se maintenir en état de dialogue constant, c’est-à-dire d’o
78
spontané dura pendant des siècles, jusqu’au jour
où
les nationalismes, sécrétés par l’Europe, vinrent poser des barrières
79
uis ces jours lointains et d’ailleurs légendaires
où
le grand dieu des Grecs emporta de vos rives une jeune et belle princ
80
s traitent en fait comme périmées, au moment même
où
une culture mondiale en gestation serait enfin en mesure de les redéc
81
ur unité réelle. Pour ma part, c’est en Amérique,
où
j’ai vécu pendant six ans, que j’ai découvert l’Europe comme entité d
82
ure, et souvent pire que rien sur celles des pays
où
ils vont aller. De même, les étudiants d’outre-mer qui viennent dans
83
squels engager le dialogue. De même qu’on ne sait
où
trouver le livre qui expliquerait la culture européenne aux étudiants
84
aux étudiants venus d’autres régions, on ne sait
où
trouver le livre qui expliquerait utilement à l’un de nos « assistant
85
« assistants techniques » la culture de la région
où
il va travailler. Voilà pour les motifs européens de dialoguer. ⁂ Il
86
e ; soit simplement d’elles-mêmes, dans la mesure
où
elles auraient contribué à illustrer ou à unifier la culture dont ell
87
ands thèmes du siècle certes, mais dans la mesure
où
ces grands thèmes apparaîtront clairement comme étant d’intérêt commu
88
velles élites ; le rôle des loisirs dans les pays
où
l’automation va les augmenter considérablement ; l’intégration des dé
89
Dès que de tels Centres fonctionneront, on saura
où
l’on peut s’adresser pour recueillir des informations utiles de tous
90
lles soient, ne se feront bien que dans la mesure
où
elles serviront dès le départ des buts finaux jamais perdus de vue. L
91
amais prêtes à s’unir ! Europa : Il fut un temps
où
la fédération de l’Europe semblait à portée de la main. Les fédéralis
92
ration la plus évidente. De même que l’incapacité
où
se sont trouvés les gouvernements européens d’intervenir pour créer d
93
opérer sur un autre plan que celui, précisément,
où
le problème se révèle insoluble. Il faut se fonder sur ce qui est des
94
arlé. ») Le résultat visé sur le plan politique —
où
nous ne sommes encore qu’à zéro, contre 25 %, peut-être, sur le plan
95
que pas en avant, dans ce domaine, montrera jusqu’
où
l’on peut aller sans se heurter au veto des États. Peu à peu, la forc
96
’époque (bien mieux que le ludion) dans la mesure
où
il la refuse (bien plus radicalement que le contestataire), mais s’il
97
m’établissant avec honneur, j’augure bien du sol
où
j’ai fondé ma loi (Saint-John Perse). Paroles de poète, paroles de pr