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de morale des Européens eux-mêmes. À défaut d’une
prise de conscience
assez rapide et générale du danger que courent ensemble tous nos pays
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et faire voir au lieu de faire croire. Mais cette
prise de conscience
du siècle en marche revêt, qu’on le veuille ou non, le caractère et l
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problèmes. Le premier me paraît être celui de la
prise de conscience
d’une époque non par ses héritiers, mais par ceux qui la vivent. On n
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t disposer — à la seule condition de s’unir. Une
prise de conscience
. Un réveil. Telle paraît donc la condition première de toute action c
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s, peut-être destructrices de nos valeurs. » ⁂ La
prise de conscience
des besoins et des dangers spécifiques de chaque culture, par rapport
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ssante de la civilisation par la technique, cette
prise de conscience
m’apparaît comme une nécessité commune à tous les peuples de la Terre
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s, mais elle doit résoudre d’abord un problème de
prise de conscience
d’elle-même et de son unité : le dialogue non seulement avec l’Europe
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mmun à l’échelle du genre humain. Je citerai : la
prise de conscience
des nouveaux ensembles culturels ; leur adaptation à la civilisation