1 1970, L’Un et le Divers ou la Cité européenne. I. Pour une nouvelle définition du fédéralisme
1 grand ouvrage de Proudhon, Du Principe fédératif, l’on pouvait lire cette phrase devenue célèbre : « Le xxe siècle ouv
2 tous nos États centralisés — dans la mesure même ils sont centralisés — se révèlent trop grands pour animer la vie éco
3 antinomies, oppositions, lutte des contraires « d’ procède la plus belle harmonie ». Je pense d’abord, bien sûr, aux esp
4 rer les principaux domaines de la réalité moderne l’on retrouve les structures typiques d’un problème fédéraliste. À la
5 il ne reste qu’à désigner le niveau de compétence seront prises les décisions relatives à cette tâche. Il peut y avoir
2 1970, L’Un et le Divers ou la Cité européenne. II. La Cité européenne
6 phie occidentale, dans l’une de ces cités d’Ionie prit naissance la dialectique de notre histoire, Héraclite écrivait c
7 ainsi l’idée de l’atome et celle de l’individu, d’ les excès de l’individualisme hellénistique qui ne manqueront pas d’a
8 e manifeste comme Européen dans la mesure précise il doute qu’il le soit, et prétend au contraire s’identifier soit ave
9 pez de moyens, ils risquent bien de vous conduire vous ne vouliez pas aller… Voici donc le dilemme présent : Si nous at
10 i touche à l’État-nation : néfaste dans la mesure il est encore réel, inexistant quand on voudrait compter sur lui. Je
11 épartir l’État aux différents niveaux de décision il peut servir une entité vivante, civique, économique ou culturelle,
12 e la planète indispensable au monde de demain, et les hommes pourront trouver non pas le plus de bonheur, peut‑être, ma