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grand ouvrage de Proudhon, Du Principe fédératif,
où
l’on pouvait lire cette phrase devenue célèbre : « Le xxe siècle ouv
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tous nos États centralisés — dans la mesure même
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ils sont centralisés — se révèlent trop grands pour animer la vie éco
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antinomies, oppositions, lutte des contraires « d’
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procède la plus belle harmonie ». Je pense d’abord, bien sûr, aux esp
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rer les principaux domaines de la réalité moderne
où
l’on retrouve les structures typiques d’un problème fédéraliste. À la
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il ne reste qu’à désigner le niveau de compétence
où
seront prises les décisions relatives à cette tâche. Il peut y avoir