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, de savoir si elle est plus ou moins vraie que l’
orientale
; mais seulement de bien voir la relation qui l’unit à certains choix
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usé de matérialisme par les tenants des religions
orientales
et des hérésies docétistes et gnostiques, lesquelles furent condamnée
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es apports celtes, germaniques, arabes, slaves et
orientaux
, mais surtout qui ferait oublier qu’Athènes, Rome et Jérusalem nous o
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re l’usage, de déviationnisme, ou de blasphème. L’
Oriental
, je pense aux Hindous plus qu’aux Chinois, est d’une caste, d’un ordr
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varier, de différer ou d’innover, suggère pour l’
Oriental
une inconvenance profonde ; tandis que toute initiative expose le suj
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mbent dans cette erreur et s’ils y persévèrent, l’
Oriental
l’expiera dans ses vies ultérieures, tandis que le Soviétique, dès ce
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i tend à s’affirmer comme individu créateur, et l’
Oriental
, qui tend à s’ordonner au monde des dieux, nous ayons à choisir : je
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aux Anciens, comme elle le reste à la plupart des
Orientaux
. Survient alors le christianisme et, avec lui, l’histoire comme avent
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distingue absolument de nos écrits européens. Les
Orientaux
disent : comment interpréter la vérité de ce texte ? Nous disons : es
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e sublime de l’Occident, mais pour l’oreille d’un
Oriental
, c’est un bruit vague, une espèce de rumeur insensée… Seulement, elle