1 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
1 , de savoir si elle est plus ou moins vraie que l’ orientale  ; mais seulement de bien voir la relation qui l’unit à certains choix
2 usé de matérialisme par les tenants des religions orientales et des hérésies docétistes et gnostiques, lesquelles furent condamnée
3 es apports celtes, germaniques, arabes, slaves et orientaux , mais surtout qui ferait oublier qu’Athènes, Rome et Jérusalem nous o
4 re l’usage, de déviationnisme, ou de blasphème. L’ Oriental , je pense aux Hindous plus qu’aux Chinois, est d’une caste, d’un ordr
5 varier, de différer ou d’innover, suggère pour l’ Oriental une inconvenance profonde ; tandis que toute initiative expose le suj
6 mbent dans cette erreur et s’ils y persévèrent, l’ Oriental l’expiera dans ses vies ultérieures, tandis que le Soviétique, dès ce
7 i tend à s’affirmer comme individu créateur, et l’ Oriental , qui tend à s’ordonner au monde des dieux, nous ayons à choisir : je
8 aux Anciens, comme elle le reste à la plupart des Orientaux . Survient alors le christianisme et, avec lui, l’histoire comme avent
9 distingue absolument de nos écrits européens. Les Orientaux disent : comment interpréter la vérité de ce texte ? Nous disons : es
10 e sublime de l’Occident, mais pour l’oreille d’un Oriental , c’est un bruit vague, une espèce de rumeur insensée… Seulement, elle
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
11 problème de l’Un et du Divers, les métaphysiques orientales prennent le parti de supprimer le conflit en réduisant l’un de ses te