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bres antérieurs, mais toujours victorieux pour le
progrès
de l’espèce. Vingt millénaires d’un effort sans relâche de l’homme co
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réponse moderne, dès le xviiie siècle, a été le
Progrès
— un progrès que nous pensions indéfini. Or nous découvrons, depuis p
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rne, dès le xviiie siècle, a été le Progrès — un
progrès
que nous pensions indéfini. Or nous découvrons, depuis peu, que nous
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oute vie. Et en même temps nous découvrons que le
Progrès
ne peut pas être « indéfini ». À cela, une raison décisive, indiscuta
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irige notre humanité dans ce monde fini ? Vers le
Progrès
, comme hier, ou vers l’Apocalypse ? a. Les sous-titres ont été rajo
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« La religion du
Progrès
» C’est ici qu’intervient toute la littérature consacrée depuis une
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méthodes. Contre eux se dressent les champions du
Progrès
indéfini et de la société de consommation, qui voit le bonheur dans l
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et je les cite : « qu’il faut faire confiance au
Progrès
», ou au contraire qu’il faut écouter les « leçons du Passé », lesque
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ion », ces apaiseurs ! Hélas ! Faire confiance au
Progrès
, ce serait faire confiance au virus pour nous tirer de la maladie qu’
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e qu’il cause, aussi longtemps que la religion du
Progrès
aura pour dogme l’expansion indéfinie à n’importe quel coût humain et
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n, ni le gros bons sens, ni l’aveugle foi dans le
Progrès
ne sauraient suffire à déterminer les conditions d’un tel équilibre.
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mplacer la seule poursuite de la croissance et du
progrès
économique. » Car désormais, ajoute-t-il, « c’est l’avenir à long ter
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dre le PNB pour indicateur unique et suffisant du
Progrès
, ce serait une erreur utopique que de vouloir éliminer totalement le
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e — comme indicateur principal d’une politique de
Progrès
réel, je veux dire : global. Une des leçons capitales que nous enseig