1 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « Un monde fini »
1 l Valéry, dans les années 1930. Il l’entendait au sens spatial d’un monde rétréci par la vitesse et la facilité des déplacem
2 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « Passer de la croissance à l’équilibre »
2 iens de rappeler, ni l’intuition, ni le gros bons sens , ni l’aveugle foi dans le Progrès ne sauraient suffire à déterminer l
3 aux investissements, ce qui déclenche une montée critique de la pollution, laquelle entraîne une mortalité proprement catastrop
4 jusqu’au désespoir et à la révolte une pénurie de sens de la vie au milieu de la surabondance des machines, des objets offer
5 napoléonien… Quoi qu’il en soit d’ailleurs de ces critiques , des améliorations de méthode et des corrections de résultats que l’o
3 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « L’homme se voit contraint de choisir librement son avenir »
6 meure de formuler et de vouloir une politique, au sens le plus large du terme, qui est aussi le sens originel : l’aménagemen
7 au sens le plus large du terme, qui est aussi le sens originel : l’aménagement des rapports humains dans la cité, la polis
8 s en conséquence une politique globale, au double sens de l’adjectif. La question, pour une entreprise, une société, un grou
4 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « Gagner le monde ou sauver son âme »
9 nne l’écologie politique ». Ce qui revient, à mon sens , à prendre l’écologie — et non plus l’économie — comme indicateur pri