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ais d’avoir refusé de la conduire, et cela sous l’
éternel
prétexte invoqué par toutes nos lâchetés : le prétexte de l’impuissan
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aussi nommée arche du témoignage : alliance de l’
Éternel
et témoignage de sa volonté. Dans l’Arche sont les Tables de la Loi.
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pelle à la fois l’origine et la fin du peuple : l’
Éternel
Dieu et son service. Parce qu’elle est la loi de Dieu, et que ce Dieu
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qu’elle est la loi de Dieu, et que ce Dieu est l’
Éternel
, la Loi est la conscience finale du peuple hébreu. Et parce qu’elle e
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eil et faveur à celui qui abandonne la quête de l’
éternel
et n’y voit plus qu’une « illusion ». Mais ce siècle lui-même, n’est-
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st tendue comme un arc par la passion de servir l’
Éternel
, Luther dira, d’un tour proverbial : « Voilà un écrit qui a des pieds
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e d’Israël oublie sa vocation et se détourne de l’
Éternel
son Dieu, il perd aussi le sens des noms et bientôt sa langue délire
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ignorance où on les a tenus de l’incommensurable,
éternelle
beauté de l’acte qui soudain, tendresse infime ou révolte démente, po
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it aux faux dieux, en tous temps, que pour fuir l’
Éternel
. Et je ne leur souhaite pas de revenir en arrière, de revenir par exe
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t, c’est le refus de l’obéissance instantanée à l’
Éternel
. Nous avons lâché la rampe, et désormais l’accélération de notre chut
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C’est l’acte. Car l’acte est adhésion à l’instant
éternel
; un instant il se dresse contre les mécanismes de la mort ; un insta
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utes. Car un acte total, un oui total à l’instant
éternel
dresserait contre nous l’univers totalement unifié dans le non, — la
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ptible. Il n’est pas en notre pouvoir d’étonner l’
Éternel
, ni d’inventer quoi que ce soit qu’il n’ait prévu, qu’il n’ait donné,