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esprit, si j’interroge au hasard ceux qui veulent
défendre
« l’esprit » contre les menaces dites matérialistes, je constate qu’o
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e. Elle ne peut tolérer d’opposition. Or on ne se
défend
bien qu’en attaquant. Le seul désir de durer impose donc à une dictat
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onscience, d’ailleurs bien superflue, de ceux qui
défendent
en général cette primauté du matériel, et qui cherchent à la justifie
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es dynamismes nationaux. Nous avons des valeurs à
défendre
. Mais nous avons surtout des valeurs à créer, et que nous seuls pouvo
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, alors que — second paradoxe — les clercs qui la
défendent
paraissent irrémédiablement séparés de leur peuple et de ses plus pro
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i la sanctionne au double sens du mot. Les clercs
défendent
et définissent une liberté de la pensée qui n’est au vrai qu’une assu
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est pas le leur, n’est pas celui qu’ils avaient à
défendre
, et n’est plus, au sens littéral, qu’un no man’s land. Pareillement,