1
urvit. La critique révolutionnaire est liée d’une
façon
immédiate à l’affirmation créatrice : elle n’est en somme que l’aspec
2
lées par des politiciens, houspillées de vulgaire
façon
par certains vieux coquins auteurs de manuels classiques, momifiées p
3
s morbides d’une société en mal de nouveauté, ces
façons
de s’offrir à la violence des affranchis, ce sont des signes qui n’on
4
ègle à leur fantaisie, chacun croyant gagner à sa
façon
, et que les autres trichent ou font défaut. N’est-ce pas la partie de
5
e fatal de tout régime totalitaire, et cela d’une
façon
d’autant plus frappante qu’il s’agit ici de régimes entre lesquels la
6
s les systèmes d’éducation qui se fondaient d’une
façon
ou d’une autre sur la peur et l’angoisse de l’imagination. Au lieu de
7
gré eux que par la haine qui les oppose. De toute
façon
, leur étant étranger, je leur paraîtrais blasphémateur sitôt que je p
8
el et passionnel. Je tenterai de le faire de deux
façons
: 1° En soulignant l’opposition que cette formule implique aux concep
9
e. N’allons pas lui permettre de se préciser à sa
façon
, au détriment d’une vérité plus générale qu’elle est simplement desti
10
s, c’est une espèce de lâcheté. Qu’est-ce que ces
façons
de se présenter de dos à la lutte ? C’est une pauvre protection que l
11
carton qu’on voit aux étalages. Il y a plusieurs
façons
d’avaler. Il y a même l’oubli. Ainsi de l’idée du bonheur : qu’on la