1 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — III. Fatalités du rationalisme bourgeois
1 retomber vers les choses, c’est-à-dire vers leurs mécanismes , dès qu’elle essaie de s’avancer au-delà, dans un monde d’invention c
2 tte fatalité est celle du monde contemporain. Son mécanisme est simple, et son rythme constant. La raison joue le rôle d’une forc
2 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
3 Il m’apparaît que ce parallèle met en lumière le mécanisme fatal de tout régime totalitaire, et cela d’une façon d’autant plus f
3 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
4 nécessaire de le rappeler et de décrire aussi les mécanismes ou les fatalités de quelques mesures, et leurs rapports avec les fins
4 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
5 ignorent qu’il ne peut sortir d’un système, d’un mécanisme intellectuel ou économique, autre chose que ce qu’un acte aura posé à
6 ose que ce qu’un acte aura posé à l’origine de ce mécanisme  ; et qu’un système dont l’acte initial est une démission de ma pensée
7 pare ; méfiance active à l’égard des habitudes et mécanismes inhumains ou trop humains ; tension qui se résout en acte, et tout ac
8 tant éternel ; un instant il se dresse contre les mécanismes de la mort ; un instant il recrée, dans la vision de l’homme, la form