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t d’attribuer, par manière de symbole, le premier
péché
qualifié contre la mesure latine. C’est Pétrarque qui, le premier, dé
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erreurs que je viens de décrire. C’est un certain
péché
contre l’esprit que je redoute, et non point un certain système de ré
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là son contresens, non pas comme une histoire du
péché
et des actes rédempteurs, mais au contraire comme une glorification d
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ietzsche. De même que toute conscience réelle du
péché
suppose une action de la grâce, la conscience d’une démission suppose
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ucherons enfin le vrai tragique, qui est celui du
péché
et de la foi. L’extrémisme théâtral et non sérieux qui excite aujourd
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humaine en général : toutes les deux relèvent du
péché
, c’est-à-dire de la chute originelle, qui sépara la pensée de l’homme
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n fait à détruire aussitôt qu’on le reconnaît. Le
péché
abstracteur corrompt de part et d’autre les éléments qu’il désunit, m
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eut, dans l’instant qu’il est donné, combattre ce
péché
qui, sitôt après, reparaît. C’est à de tels instants que nous devons
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d’assumer dans une prise unique tout ce que notre
péché
sépare ; méfiance active à l’égard des habitudes et mécanismes inhuma
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sage. L’ascèse chrétienne est une lutte contre le
péché
même, en son principe, lutte qui se sait sans fin dans cette vie, et
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antihumaine toute lutte contre certains effets du
péché
, qui ne serait pas une lutte contre son principe même. Par exemple, t
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nde où l’égoïsme ne règne plus seulement comme un
péché
, mais comme une vertu glorifiée par la culture « distinguée », et cod
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st dans la pensée même : c’est elle d’abord qui a
péché
. Mais du péché dans lequel nous nous voyons plongés, nous ne pouvons
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ée même : c’est elle d’abord qui a péché. Mais du
péché
dans lequel nous nous voyons plongés, nous ne pouvons donner qu’une d
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sante. La cause première nous échappe, puisque le
péché
, justement, c’est d’être séparé de notre origine absolue. Toucherait-
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use permanente et actuelle de toute répétition du
péché
primitif, nous pouvons la nommer, la décrire. Ainsi, dans une certain
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e de l’histoire, c’est la chute dans le temps. Le
péché
premier, le lâchage premier et irrattrapable de l’instant, c’est le r