1 ence. Ce sont les hommes les plus intelligents du siècle , mais aussi les moins créateurs au sens absolu de ce mot : un Spengle

2 humaine, elle a voulu se hisser au sublime, où le siècle , bien trop heureux d’être débarrassé de son contrôle, la laisse polim

3 essais de restauration que le premier tiers de ce siècle aura vus naître en Russie et en Allemagne. 5. Ce monument doit êtr

4 société rénovée. Mais la situation se renverse au siècle suivant, c’est-à-dire dès l’instant où la bourgeoisie s’établit, trio

5 l’histoire de la bourgeoisie a révélée au dernier siècle . Née de l’effort de l’homme contre les choses et contre les mythes ty

6 oir atteint ses objectifs au gré des ambitions du siècle  ; quand le combat s’apaise et quand retombent les passions, l’agressi

7 amen des doctrines les plus puissantes du dernier siècle nous fournira l’illustration de cette thèse. 9. Je prends le mot « 

8 ature des idéologies les plus diverses du nouveau siècle sont contenus en germe dans ces formules de Comte et de Hegel. Les mo

9 sée pour autre chose que l’unique nécessaire ? Le Siècle fait toujours grand accueil et faveur à celui qui abandonne la quête

10 nel et n’y voit plus qu’une « illusion ». Mais ce siècle lui-même, n’est-il pas le produit d’un abandon de la mesure chrétienn

11 Personne ne croit encore sérieusement qu’aucun siècle du Moyen Âge ait jamais été dominé par une seule théologie. Les doctr

12 lle fut bien le sous-entendu que les clercs et le siècle entendaient et vénéraient sans discussion possible. Ici, les luttes m

13 oyen de régler à la fois l’action et la pensée du siècle . La « grammaire » est devenue rhétorique, et maintenant la rhétorique

14 i nous disons qu’ils furent les plus grands de ce siècle , quelle est la mesure qui nous permet de porter un tel jugement ? Si

15 et ne rappelait aucune fin supérieure. Le mal du siècle fut d’abord le mal des riches qui n’avaient plus de foi. Et la révolu

16 us de foi. Et la révolution sociale fut le mal du siècle des pauvres. Tout cela se passait sur fond d’angoisse. La vraie grand

17 angoisse. La vraie grandeur des vrais génies d’un siècle aussi profondément malade, ce fut l’angoisse. De Kierkegaard à Nietzs

18 contre toutes ses caricatures. L’idéal positif du siècle était en vérité une caricature d’idéal, aussi ne trouva-t-il à s’inca

19 ée. Et dans ce sens, ils sont les vrais génies du siècle , dès lors qu’il s’agit de construire. Mais que valent ces mesures imp

20 Vous avez reculé la question, de dix ans ou d’un siècle , je ne sais ; mais ce que je sais, c’est que tous nos pays se trouver

21 lles et spirituelles qui ont déterminé depuis des siècles cet abaissement de niveau communautaire 55. Nous en avons défini quel

22 us ignorer. Notons aussi que cet appel profond du siècle a commencé par se manifester dans les pays les plus atteints matériel

23 au moins totalitaire. Là où depuis deux ou trois siècles la nation existait déjà, la crise est bien moins virulente, et la rép

24 Là où le cadre national existait depuis plusieurs siècles , ces religions ne sauraient combler l’attente réelle. Elles ne sont p

25 t de toute ma faiblesse peut-être), c’est que des siècles d’abandon charmant, derrière nous, aboutissent à une catastrophe dont

26 ns de marquer une volonté de confondre ce que des siècles de culture bourgeoise nous ont appris à distinguer et opposer : le ce

27 les mains. Les mains Quelles mains ? Notre siècle « à mains » ne serait-il pas assez maniaque comme cela ? Oui, tout à

28 istinguée de l’action. Voilà sa modestie, — et le siècle passé n’a pas manqué de qualifier cette vertu de scientifique. Soyons

29 nd plus et qui domine la morale et la pensée d’un siècle , dans ces réalités dont une sagesse terrible dit justement qu’elles c

30 erc invoquera cette objectivité qui jouit dans le siècle d’un si curieux prestige, nous saurons qu’il invoque un ensemble de l

31 , en somme, que son devoir… Ainsi les maîtres du siècle dernier — et nous en subissons encore la coutume — ont réduit toute a

32 gine de cette complicité tacite qui lie depuis un siècle les clercs sans risque et les meneurs du jeu économique. C’est bien l

33 ans la politique et la critique des événements du siècle . Ils y déploient cependant une vulgarité que leur position rend frapp

34 me nouveau ? Prudence élémentaire, simplement, au siècle de la presse et de l’éloquence électorale. Si l’on se mettait à vivre

35 t qui comblait si doucement la débilité morale du siècle . Elle en figura tout ensemble le bon goût, la mesure, et la suprême a

36 qui demeure l’ouvrière efficace et méconnue d’un siècle collectif. Est-ce à dire qu’une telle pensée n’ait d’autre fin que de

37 isé le xixe siècle. Tous les autres débats de ce siècle perdent leur aiguillon si on les y compare. Ils se réduisent pour la

38 sé par l’Empire ; le Moyen Âge, la théologie ; le siècle de Louis XIV, la raison d’État incarnée par le roi ; et nous voyons l

39 iracle, ce fut d’unir entre ses mains, durant des siècles , l’autorité spirituelle et le pouvoir organisé. Nous ne reverrons pas

40 ans la cité, secret que nous avait fait perdre un siècle de sociologies collectivistes ou individualistes. Enfin l’Occident en

41 aires », si l’on accepte l’héroïsme personnel. Un siècle bourgeois comme fut le xixe , n’osait imaginer de réalisations que so

42 s des années 1930 et celles des années 1970 de ce siècle nous frappent d’abord par leurs contrastes. En ce temps-là, le princ

43 que la police accepte de jouer ce jeu d’un autre siècle . Mais les problèmes fondamentaux de l’Occident sont-ils mieux vus qu’