1 ur ce petit être qui s’énerve, qui embrouille les règles , qui a sommeil, qui a peur de faire faux, parce que les autres auront

2 ’horaire des leçons. Ce malaise inavouable, cette règle méchante, ce souci qui renaît chaque jour, je pense que tout cela tie

3 démocratiques, qui sont une généralisation de la règle de trois, aussi profondément certes qu’un Voltaire le fut par les jés

4 simplifié, si évident, si parfaitement soumis aux règles d’une arithmétique élémentaire, ce monde dont la Démocratie apparaiss

5 ou deux feuilles de papier, d’un crayon et d’une règle (pour diviser la page en casiers rectangulaires, bien proprement). Év

6 ie est difficile, tandis qu’à l’école elle est de règle . Car la qualité et la quantité des réponses « fournies » par le préve

7 école veut que partout la valeur cède le pas à la règle . Elle cherche à développer chez nos petits Helvètes un légalisme écoe

8 ’élève moderne : … Son imagination, soumise à la règle scolaire, se laisse convaincre de substituer à l’idée de valeur celle