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ent dévorante, une soif que la mort seule pouvait
éteindre
: ce fut la « torture d’amour » qu’ils se mirent à aimer pour elle-mê
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feu, qui je le crois, jamais, jamais ne pourra s’
éteindre
… Pourquoi ne me consume-t-il point ? Dante de même : Amour qui, dan
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raindre Que je puisse à mon gré l’enflammer, et l’
éteindre
… C’est là le Corneille classique, pensera-t-on : la volonté triompha
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ré véritable. » Les deux derniers mots : « … et l’
éteindre
» étant pur artifice de rhétorique, destiné à persuader le lecteur, o