1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre premier. Le mythe de Tristan
1 oncordance établie par M. Joseph Bédier (dans son étude sur le poème de Thomas) entre les cinq versions du xiie siècle : Bér
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
2 era d’ailleurs si l’on tient compte de l’état des études arabisantes à son époque. Des travaux plus récents ont décrit en déta
3 portants sur le catharisme ont paru depuis 1939 : Études manichéennes et cathares, par Déodat Roché, 1952 ; Le Catharisme, par
4 contemporains les plus vitalement intéressés à l’ étude du catharisme (voir ses Études manichéennes et cathares, 1952, et Le
5 ment intéressés à l’étude du catharisme (voir ses Études manichéennes et cathares, 1952, et Le Catharisme, 1938), insiste lui
6 ue courtoise sont précises. Lucie Varga, dans une étude sur Peire Cardenal (ou Cardinal), l’un des derniers troubadours (« Pe
7 e certains poèmes des troubadours comme sources d’ études sur l’hérésie. Elle cite, à l’appui, des vers de Peire Cardenal qui r
8 erme ». 70. L. de La Vallée-Poussin, Bouddhisme, Études et matériaux, 1898. 71. Mircea Eliade, op. cit., p. 210 et 212. 72.
9 Lumière du Graal, 1951, recueil d’une vingtaine d’ études par des auteurs divers), René Nelli formule quelques observations qui
10 T. II. p. 85 sq., 1969. 89. Voir l’intéressante étude de M. Alexandre Haggerty-Krappe sur la Légende de « Tannhäuser » (Mer
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre III. Passion et mystique
11 sations ne se révèlent plus décevantes que dans l’ étude des mystiques. Comme l’a fort bien noté J. Baruzi (Saint Jean de la C
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
12 Fauriel venaient de provoquer la renaissance des études romanes.) « Singulière civilisation », dit-il. Et il rêve un peu là-d
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre VI. Le mythe contre le mariage
13 int : R. P. Lavaud, « L’idée divine du mariage », Études carmélitaines, avril 1938, p. 186. Le sacrement catholique se justifi
14 le plus important depuis la Réforme. Voir aussi l’ étude d’Henry Corbin sur la Sophia éternelle, in Revue de culture européenn
6 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
15 rmation de mon analyse du crime sadique dans deux études remarquables de Pierre Klossowski : le Mal et la négation d’autrui da
7 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
16 e nouvelle » (selon Robert Lafont) et qu’avec les études de Simone Weil (signées alors Émile Novis) il explique que le cathari
17 lleurs corroborer pour l’essentiel une importante étude de Déodat Roché : Le Graal pyrénéen, cathares et templiers (reprise d
18 aal pyrénéen, cathares et templiers (reprise dans Études manichéennes et cathares), et qui invoque les mêmes sources hermétiqu
19 tion de l’amour au xiie siècle Dans sa grande étude sur Guillaume de Poitiers (Romania, avril 1940), Reto Bezzola, auteur
20 e structurelle des textes, relève au début de son étude sur Guillaume de Poitiers237 les treize systèmes d’explication de not
21 ication de notre énigme, proposés (à la date de l’ étude ) par une quarantaine de savants. Chacun a vu un, deux ou trois des no
22 « à la douceur du temps nouveau ». ⁂ C’est par l’ étude des formes prosodiques que Theophil Spoerri, sur les traces de Bezzol
23  ! Rien, ils n’ont rien compris à l’objet de leur étude , à ces pièges de la poésie, à cette béance de l’histoire, à ce désir
24 et de Marie, pour les cathares, cf. Déodat Roché, Études manichéennes et cathares, p. 162 à 164 ; et sur leur distinction (hom
25 directe des Arabes en pays d’Oc. 243. Cahiers d’ études cathares, n° 9, 1952. 244. Voir supra, p. 111 à 118. — Partout, dans