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ttu et tué tant d’hommes ennemis de Dieu dans les
armées
et dans les villes ! Ô ! trop heureux encore une fois, et plus, qui a
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’ensemble de ses forces en achetant d’un bloc son
armée
. Quand ils n’y arrivaient pas, il fallait se résoudre à batailler. Ma
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iment de gloire ni par aucun motif extérieur », l’
armée
française se présentait comme une armée nationale : « Les gens d’arme
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ieur », l’armée française se présentait comme une
armée
nationale : « Les gens d’armes étaient presque tous sujets du Roi et
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et sanglante, succède une diplomatie retorse, une
armée
commandée par des courtisans en dentelles, libertins et bien décidés
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qui a le dernier écu. On entretient en France une
armée
qui coûte 100 millions par an ; c’est 2 milliards pour vingt ans. Nou
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tirail dispendieux, incommode et dangereux, d’une
armée
permanente, ne vaudrait-il pas mieux en épargner les frais et acheter
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t-il pas mieux en épargner les frais et acheter l’
armée
ennemie, lorsque l’occasion s’en présenterait. Un Anglais estimait un
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la Nation ! que les sans-culottes repoussèrent l’
armée
« classique » des alliés. On connaît le mot de Goethe, au soir de la
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cer la résistance ennemie, en détruisant sa force
armée
. (Forcer la résistance de la femme par la séduction, c’est la paix ;
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réduire ses défenses. Bataille rangée contre une
armée
de métier, siège des ouvrages fortifiés, capture du chef : un système
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lement militaire — la destruction des résistances
armées
signifie l’anéantissement des forces vives de l’ennemi : des ouvriers
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tions qui marquèrent la guerre de Trente Ans, les
armées
s’imposèrent « des règles et des limites qui répondaient en même temp