1
al aime au moins autant ce qui détruit que ce qui
assure
« le bonheur des époux ». D’où peut venir une telle contradiction ? S
2
ui se fit jongleur errant, et dont les romanistes
assurent
que les poèmes sont « vides de pensée » : n’y trouve-t-on pas la déma
3
ont elles, par malheur, qui ont le plus fait pour
assurer
le succès de l’ouvrage dans un large public pressé. Comme il arrive.)
4
ation de Guiraut Riquier est exacte. On peut s’en
assurer
en lisant Ælius Donatus (commentaire sur Térence, ive siècle) : Quin
5
ans sa Préface lorsqu’il écrit : « Ce que je puis
assurer
, c’est que je n’ai point fait de tragédie où la vertu soit plus mise
6
e : c’est peut-être qu’il est plus « naïf », plus
assuré
de la réalité de son au-delà. Voyez-les se reprendre sans cesse aux f
7
ucune espèce de sens valable, il suffit pour s’en
assurer
d’imaginer l’impuissance absolue où se trouvent les clients de cette
8
« On combat toujours à cheval, couvert d’armes et
assuré
de la vie lorsqu’on se rend prisonnier… La vie des vaincus et presque
9
age, c’est-à-dire la durée, il serait normal d’en
assurer
les conditions. Mais ces réformes n’auraient que peu d’effet dans un
10
gnent souvent de souhaiter d’autres nœuds, pour s’
assurer
davantage de la fidélité et de la constance de la personne aimée. C’e
11
nce poétique. » (Cette dernière phrase suffit à m’
assurer
que nous sommes sur la même longueur d’onde.) Puis, le livre paru, 25
12
e page. Et voilà qui est normal, puisqu’il est, m’
assure-t
-on, de la nature d’un catalyseur de disparaître des combinaisons qu’i
13
crit, n’a pas eu lieu. Mais d’autre part, on nous
assure
que Suso demeura toute sa vie un dominicain très fidèle aux disciplin
14
e même que lui impose la dame : Nul ne peut être
assuré
de triompher de l’amour, s’il ne se soumet en tout à sa volonté. Mai