1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
1 des travaux récents, renforçant l’hypothèse d’une communauté originelle des croyances religieuses en Orient et en Occident. ⁂ Bien
2 ristianisme triompha. La primitive Église fut une communauté de faibles et de méprisés. Mais à partir de Constantin, puis des empe
3 une idéalisation, commune » et fondent ainsi une communauté — comparable à l’Église d’Amour des cathares. b) selon le manichéis
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
4 talement : de nos jours, on retrouve çà et là des communautés mennonites mêlées d’éléments russes — doukhobors et khlystis — au Can
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre V. Amour et guerre
5 et le mystère sanglant autour duquel se crée une communauté nouvelle : la Nation. Or la Nation, c’est la transposition de la pas
6 êts privés, incapables de fournir les bases d’une communauté solide. La nation même que l’on invoquait avait perdu de son prestige
7 scussion, l’affrontement, l’explication) entre la communauté et les puissances du mythe.
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
8 îtres… mais finissant par constituer de nouvelles communautés religieuses. » Elles sont nombreuses — des centaines de mille, selon
5 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
9 iarité exagérée entre les sexes dont on accuse sa communauté ambulante. Si l’on en croit les rumeurs du temps, Robert, « suivant l
10 let dans le même temps) mais sur les hommes de la communauté . Très vite, le magnétisme qui émane de son fondateur attire à Fontevr
11 n ou de régression infantile ou tribale — drogue, communautés hippies, communes sexuelles. À la lumière de cette dernière observati
12 valeur morale, c’est l’homme libre et relié à la communauté par une vocation singulière, qui à la fois le distingue de la masse e
13 la fois le distingue de la masse et le relie à la communauté , dans laquelle il est seul responsable de sa manière unique d’être av
14 e réduit au fédéralisme, qui est l’art d’unir des communautés là seulement où leur union seule peut sauver leur autonomie. Toute te