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le à l’amour pour la mère) et par le sentiment de
culpabilité
qui en résulte. Le poids de l’autorité patriarcale réduit le fils au
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de ses actes, donc du sentiment oppressant de sa
culpabilité
morale. Elle se rend au sauveur terrible et le nomme son libérateur d
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aime croire à la fatalité, qui est l’alibi de la
culpabilité
: « Ce n’est pas moi qui ai commis la faute, je n’y étais pas, c’est
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nt de cette mort, comme son nom même, et comme sa
culpabilité
. Et lorsqu’il couche par accident avec Iseut, qui est la femme promis
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qu’il fera tout ce qui est en son pouvoir ». (Sa
culpabilité
œdipienne vis-à-vis de Marc, substitut du père décédé, est redoublée