1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre premier. Le mythe de Tristan
1 ent-ils au contraire de « félons » les barons qui défendent l’honneur de Marc ? Même si la jalousie meut ces barons, ils n’ont du
2 ort d’un esprit qui résiste à la chute, et qui se défend au sein de la tentation… 8.L’amour de l’amour De tous les maux,
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
3 e te crie merci. Contre ces clameurs gémissantes, défends -moi, de peur que je ne sois retenu là-bas (en enfer) ; en tous lieux
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre III. Passion et mystique
4 de toutes les choses créées. Vraiment, comment se défendre de songer ici aux « déserts » de la Nuit obscure que décrit saint Jea
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
5 givré d’allégories. Danger, Male-Bouche et Honte défendent Bel Accueil contre les entreprises des galants. L’obstacle à l’union
6 is un enfant impertinent. Presque plus rien n’est défendu . De la pudeur, obstacle naturel, on garde ce qu’il faut pour la rhéto
7 par les tenants de la morale « conformiste ». Ils défendent le mariage bourgeois, l’héritage, les convenances et l’Ordre. Ils son
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
8 que mon mari ; et le voyant partir, je ne puis me défendre de pleurer… » Dès ce moment, ajoute le poète, « dura toujours l’amour
6 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
9 eût été telle. La thèse maxima — celle que je ne défends pas — assimilant la Dame des pensées à la Santa Gleyzia des cathares,
10 uait avant la guerre et m’accusait bien à tort de défendre . Voici les textes. Rendant compte de mon livre en juin 1939245, Sartr
11 aux yeux d’un amour exigeant le mystère le mieux défendu , — Éros et Agapè ne pourraient-ils nouer une alliance paradoxale au s