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ède de l’amour courtois et du roman breton qui en
dérive
. C’est à cette origine que notre poésie doit son vocabulaire pseudo-m
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’appuie plus sur une foi vivante, et dont l’autre
dérive
d’une hérésie dont l’expression, « essentiellement lyrique » aux orig
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nom de « béguine » provient du catharisme : on le
dérive
tantôt de « béguin », désignant le bonnet de laine que portaient les