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où les obstacles multipliés par le Roman ; d’où l’
indifférence
étonnante de ces complices d’un même rêve au sein duquel chacun d’eux
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e qu’on goûte et savoure en soi, dans une sorte d’
indifférence
à son objet vivant et extérieur. Ainsi nous avons vu que Tristan aime
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Dieu sans plus sentir son amour. C’est un état d’
indifférence
parfaite, croirait-on ; en vérité, c’est le point de perfection d’un
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e alors à l’endroit de son amour avec une sorte d’
indifférence
quasi divine. Elle est au-delà du doute et de la distinction ressenti
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ngoisse, de l’attraction et de la répulsion, de l’
indifférence
affectée et de l’affectivité refoulée. Ils n’ont pas vu que l’opposit