1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre premier. Le mythe de Tristan
1 où les obstacles multipliés par le Roman ; d’où l’ indifférence étonnante de ces complices d’un même rêve au sein duquel chacun d’eux
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre III. Passion et mystique
2 e qu’on goûte et savoure en soi, dans une sorte d’ indifférence à son objet vivant et extérieur. Ainsi nous avons vu que Tristan aime
3 Dieu sans plus sentir son amour. C’est un état d’ indifférence parfaite, croirait-on ; en vérité, c’est le point de perfection d’un
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre VII. L’amour action, ou de la fidélité
4 e alors à l’endroit de son amour avec une sorte d’ indifférence quasi divine. Elle est au-delà du doute et de la distinction ressenti
4 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
5 ngoisse, de l’attraction et de la répulsion, de l’ indifférence affectée et de l’affectivité refoulée. Ils n’ont pas vu que l’opposit