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e, puis elle s’est elle-même dérobée à moi, ne me
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que mon désir et mon cœur assoiffé ! Et ces deux strophes d’Arnaut D
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ve. Il fallait « convertir » ce désir, tout en se
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porter par lui, mais comme pour mieux le capter dans le courant puiss
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monde, puis s’est elle-même dérobée à moi, ne me
laissant
rien que mon désir et mon cœur assoiffé. ») Au-delà même de cet état,
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de Vérone, c’est le voile un instant déchiré, ne
laissant
au souvenir de nos yeux que l’image négative d’un éclat, « le soleil
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tes du langage le font voir avec plus d’évidence.
Laissant
donc de côté les hypothèses multiples et changeantes relatives à la g
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ssi d’éprouver un vif besoin de me défouler en ne
laissant
pas plus longtemps impunies certaines insolences critiques. Je saisis
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e monde, puis elle s’est dérobée elle-même, ne me
laissant
que mon désir et mon cœur assoiffé ! Et voici la passion fatale et so