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propose d’envisager Tristan non point comme œuvre
littéraire
, mais comme type des relations de l’homme et de la femme dans un grou
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vertu d’une coutume paresseuse de notre critique
littéraire
. En vérité, elle ne répond à rien. Elle nous ramène simplement à pose
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mystique, concret et symbolique, ou si l’on veut
littéraire
et religieux. Les données du problème sont, en gros, les suivantes. D
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ent croire que ce ton badin, ces potins de milieu
littéraire
… S’agirait-il vraiment de « pures coïncidences » ? Ce doute et cette
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ain. »51 Le trobar clus ne serait ainsi qu’un jeu
littéraire
, un « tarabiscotage », « une perversion du goût singulière dans une l
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de déterministe : or le surréalisme fut une école
littéraire
avant tout ; on ne retrouve le terme de libido dans aucun des poèmes
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s’y nouer, qu’apparaît la cortezia, « religion »
littéraire
de l’Amour chaste, de la femme idéalisée, avec sa « piété » particuli
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nouveau — le roman — qui ne deviendra proprement
littéraire
que par la suite, quand il se détachera du mythe provisoirement extén
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87. Il serait aisé de multiplier ces comparaisons
littéraires
. Mais certains traits de mœurs nous incitent à des rapprochements plu
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eur proprement « romanesque » (au sens moderne et
littéraire
du terme) et par des complaisances bien explicables envers le goût de
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tenir compte des éléments hérités de leur langage
littéraire
. Or s’il faut se borner à un exemple qui est à la fois le plus fameux
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e la rhétorique courtoise. S’agit-il d’influences
littéraires
? Ou de courants hérétiques souterrains ? Ou d’une recréation autonom
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lle une influence psychologique, et une influence
littéraire
qui apparaît surtout dans le symbolisme guerrier du combat spirituel
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puis les masses par imitation, sont des créations
littéraires
en ce sens qu’une certaine rhétorique est la condition suffisante de
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dmettre qu’elle est parallèle à ses métamorphoses
littéraires
. (Moyennant, cela va de soi, certains retards et simplifications.) En
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es traque, aient cessé de recourir à l’expression
littéraire
de leur religion. Le catharisme se cachera désormais dans les couches
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emble bien qu’un courant très direct d’échanges «
littéraires
» — si l’on veut — unisse le Midi de la France à la Lombardo-Vénétie.
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e un éloge de l’Astrée : du point de vue de l’art
littéraire
, c’est une réussite capitale. Jamais les ressources d’une rhétorique
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stion nette : que vaut le succès même de l’effort
littéraire
? Si l’on songe au mythe primitif, dont l’Astrée reprend tous les thè
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smettait le virus atténué du philtre ; la culture
littéraire
entretenait, dans une certaine jeunesse tout au moins, le besoin d’un
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« Vie » a pu donner naissance à de belles œuvres
littéraires
. Mais je la retrouve, étrangement identique, aux origines profondes d
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le mythe originel de Tristan, puis ses substituts
littéraires
. Le xixe siècle bourgeois vit se répandre dans la conscience profane
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ans, au xxe siècle, de toutes les autres formes
littéraires
, aboutisse à cette analyse marécageuse de nos doutes et de notre vide
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nt irréversible — alors qu’il y a des « retours »
littéraires
— que la nécessité d’une solution nouvelle est apparue en premier lie
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t, une morale inspirée par l’ambiance culturelle,
littéraire
, artistique — c’est la morale passionnelle ou romanesque. Tous les ad
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allemande, la Neue Sachlichkeit des avant-gardes
littéraires
et artistiques, l’homosexualité très générale dans les associations s
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part, les déclarations de Freud sur un mouvement
littéraire
qu’il jugeait aussi sévèrement que C. G. Jung la peinture contemporai
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nt très arbitraires. Mais il reste que l’histoire
littéraire
et religieuse n’a fait que confirmer, plus tard, l’exactitude de bien
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ande… Un peu plus tard, le 12 avril, le critique
littéraire
Jean Fourès m’envoie un communiqué, qu’il me dit avoir préparé avec J
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a presse régionale : Nous signalons un événement
littéraire
qui intéresse au plus haut point la vie intellectuelle de notre régio
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etc. qui ne doive son inspiration à la tradition
littéraire
et religieuse issue aux xiie et xiiie siècles des troubadours langu
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ui en rendirent compte dans les revues d’histoire
littéraire
crurent que je me trompais de manière embarrassante, du seul fait que
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elle du dogme et de la tradition. Dans l’Histoire
littéraire
de la Pléiade214, Régine Pernoud écarte avec dédain l’idée que la cou
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hacun a vu un, deux ou trois des nombreux aspects
littéraires
ou religieux, sociaux ou psychologiques du problème, mais beaucoup de
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iques de Guillaume, il y a la séculaire tradition
littéraire
des cours aquitaines238, de l’évêque Fortunat au vie siècle et de se
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peut utiliser impunément une forme liturgique ou
littéraire
, sans en être affecté et transformé : nulle rhétorique n’est innocent