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us inquiète, lorsque le fils apprit le sort de la
mère
… Quand mon père m’engendra et mourut, quand ma mère me donna le jour
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re… Quand mon père m’engendra et mourut, quand ma
mère
me donna le jour en expirant, la vieille mélodie arrivait aussi à leu
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tion de la beauté, n’est-ce pas le souvenir de la
mère
« fixé » dans sa mémoire secrète ? ⁂ Si telles sont bien les causes d
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répond Marie, symbole de pure Lumière salvatrice,
Mère
intacte (immatérielle) de Jésus, et semble-t-il, Juge plein de douceu
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voir aube ni jour Car la plus belle fille qui de
mère
naquit La tient dedans mes bras, donc plus ne me soucie Ni de jaloux
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la Trinité, et le dernier quart par amour pour la
Mère
céleste qui donnait à manger une pomme à son tendre enfant Jésus ; et
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u fils contre le père (obstacle à l’amour pour la
mère
) et par le sentiment de culpabilité qui en résulte. Le poids de l’aut
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social et moral ; le poids de l’interdit lié à la
mère
(donc au principe féminin) inhibe l’amour : tout ce qui touche à la f
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rtement personnifiée : c’est la Déesse, Épouse et
Mère
… Le dynamisme créateur revient à la Déesse… Le culte se concentre aut
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elle-même une chose sacrée, une incarnation de la
Mère
. L’apothéose religieuse de la femme est commune d’ailleurs à tous les
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nte synthétise toute la nature féminine, elle est
mère
, sœur, épouse, fille… elle est le chemin du salut »70. Ainsi le tantr
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Féminin de la shakti, le culte de la Femme, de la
Mère
, de la Vierge. Il participe de cette épiphanie de l’Anima, qui figure
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nté de la Déesse Minne, reviviscence de la Grande
Mère
des plus vieilles religions de l’humanité. Mais sitôt absorbé, le phi
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peut bien parler de la tragédie, dont elle est la
mère
et la fille. Toutefois, dans le cas de Tristan, l’élément plastique i
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mi : des ouvriers embrigadés dans les usines, des
mères
qui procréent des soldats, bref de tous les « moyens de production »,
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ai déjà vue, et dont je me souviens… Image de la
Mère
, sans nul doute, et la psychanalyse nous apprend quels empêchements t
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du xxe siècle : or plus encore que l’image de la
Mère
, ce qui les tyrannise, c’est la « beauté standard ». De nos jours — e
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loyé seulement pour définir les rapports entre la
mère
et les fils. Le mari n’aime pas la femme : « il a de l’affection pour
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livre II). Certes, Tristan n’a pas pu désirer sa
mère
, qui est morte en couches. Mais sa tristesse vient de cette mort, com
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père décédé, est redoublée par le souvenir de sa
mère
, qu’il a fait mourir en venant au monde.) Conquis par les prouesses d
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s que Tristan, poème du Triangle essentiel (Père,
Mère
et Fils) et de la primordiale situation créatrice, est bien autre cho