1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre premier. Le mythe de Tristan
1 a mort de Tristan et d’Isolde ! Vieille et grave mélodie , dit le héros, tes sons lamentables parvenaient jusqu’à moi sur les v
2 ma mère me donna le jour en expirant, la vieille mélodie arrivait aussi à leurs oreilles, languissante et triste. Elle m’a int
3 destin suis-je né ? Pour quel destin ? La vieille mélodie me répète : —Pour désirer et pour mourir ! Pour mourir de désirer !
4 r son accomplissement. 12.Une vieille et grave mélodie Un résumé objectif du Roman nous a fait pressentir certaines contr
5 ut-être dans notre âme la même « vieille et grave mélodie  » orchestrée par le drame de Wagner : Elle m’a interrogé un jour, et
6 destin suis-je né ? Pour quel destin ? La vieille mélodie me répète : — Pour désirer et pour mourir. ⁂ Partant d’un examen « p
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
7 tout intérieure. La morbidesse bouleversante des mélodies révèle un monde où le désir charnel n’est plus qu’une dernière et brû
3 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
8 nce les orages wagnériens dans la pure et dolente mélodie de Bernard, mais l’amour de désir infini, les tourments endurés, l’ex
9 peu à peu, par la magie précise des rythmes de la mélodie et du verbe, ces formes se mettent à gagner sur la matière du poème.
10 llent chapitre sur la Musique des troubadours. La mélodie est notée sur la même page. Pour la suite du poème, j’ai repris et un
11 s avant d’être poètes, modèlent leurs vers sur la mélodie . La forme strophique est d’essence musicale… Le seul texte musical qu