1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre premier. Le mythe de Tristan
1 que le blessé n’est autre que le meurtrier de son oncle . Elle saisit l’épée de Tristan et menace de le tuer dans son bain. Al
2 ng qu’il pourrait occuper parmi les barons de son oncle . Il songe aussi à son amie, — pour la première fois semble-t-il ! Il
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
3 ses parents, fut élevé à la cour du roi Marc son oncle . Or il était fréquent, chez les plus anciens Celtes, que l’on confiât
4 t… des druides. »88 Tristan élevé par Marc, son oncle maternel, devient ainsi, en vertu du fosterage, le « fils » du roi. (
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
5 s au xviiie siècle. 149. L’abbé de Sade, propre oncle du marquis, est l’auteur d’un ouvrage intitulé : Remarques sur les pr
4 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
6 s terres qu’on nomme France aujourd’hui. Tous ses oncles sont ducs ou rois, ses cousines et ses tantes reines ou impératrices 
7 se de son « père », c’est-à-dire du roi Marc, son oncle maternel, lequel joue le rôle du père chez les Celtes, il a commis et
8 Tristan, âgé de 14 ou 15 ans, séjourner chez son oncle le roi Marc « comme un homme étranger, et il fit si bien qu’en peu de
9 d Tristan entend cette nouvelle, il pense que son oncle l’envoie en Irlande plutôt pour y mourir que pour avoir Iseut. » Mais
10 it…, je vous remets Iseut pour vous ou pour votre oncle . » Tous ces géants, dragons et traîtres qui le blessent d’une épée em