1
que le blessé n’est autre que le meurtrier de son
oncle
. Elle saisit l’épée de Tristan et menace de le tuer dans son bain. Al
2
ng qu’il pourrait occuper parmi les barons de son
oncle
. Il songe aussi à son amie, — pour la première fois semble-t-il ! Il
3
ses parents, fut élevé à la cour du roi Marc son
oncle
. Or il était fréquent, chez les plus anciens Celtes, que l’on confiât
4
t… des druides. »88 Tristan élevé par Marc, son
oncle
maternel, devient ainsi, en vertu du fosterage, le « fils » du roi. (
5
s au xviiie siècle. 149. L’abbé de Sade, propre
oncle
du marquis, est l’auteur d’un ouvrage intitulé : Remarques sur les pr
6
s terres qu’on nomme France aujourd’hui. Tous ses
oncles
sont ducs ou rois, ses cousines et ses tantes reines ou impératrices
7
se de son « père », c’est-à-dire du roi Marc, son
oncle
maternel, lequel joue le rôle du père chez les Celtes, il a commis et
8
Tristan, âgé de 14 ou 15 ans, séjourner chez son
oncle
le roi Marc « comme un homme étranger, et il fit si bien qu’en peu de
9
d Tristan entend cette nouvelle, il pense que son
oncle
l’envoie en Irlande plutôt pour y mourir que pour avoir Iseut. » Mais
10
it…, je vous remets Iseut pour vous ou pour votre
oncle
. » Tous ces géants, dragons et traîtres qui le blessent d’une épée em