1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre premier. Le mythe de Tristan
1 que nous découvrirons dans la légende, dénote sa parenté profonde avec le mythe. L’obscurité du mythe en général ne réside pas
2 il suffisait d’alléguer sans trop de preuves une parenté au quatrième degré, pour obtenir l’annulation. À ces abus, générateur
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
3 ion des peuples celtiques et le sentiment de leur parenté  »12. Les druides formaient des confréries religieuses douées de pouvo
4 es doctrines secrètes, dont nous avons rappelé la parenté , ne devinrent largement vivantes en Occident que dans les siècles où
5 ction si rapide peut s’expliquer par une ancienne parenté entre le Midi précathare et les Celtes gaéliques et bretons. Nous avo
6 d desquels ils contractent de véritables liens de parenté , attestés par le fait qu’un certain nombre de personnages portent dan
3 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
7 . Lévi-Strauss, Les Structures élémentaires de la parenté , 1949. 249. Voir là-dessus dans mon Amour III (en préparation) le ch