1 la passion « contenue » dans le mythe primitif se répandra dans la vie quotidienne, envahira le subconscient, appellera de nouve

2 Bretagne, nous constatons qu’une religion s’y est répandue , d’une manière à vrai dire souterraine, dès le iiie siècle de notre

3 , Catalogne, Lombardie — une hérésie puissante se répandait . L’on a pu dire de la religion cathare qu’elle représenta pour l’Égli

4 de la « chasteté ». — À partir du vie siècle se répand rapidement dans l’Inde entière, tant hindouiste que bouddhiste, une é

5 t Anglais. Et en retour, la légende de Tristan se répandit très largement dans le Midi. Cette interaction si rapide peut s’expli

6 eurs meilleurs adaptateurs modernes ! Ainsi s’est répandue l’opinion fort étrange que les poètes bretons n’étaient en somme que

7 . Mais dès 1145, selon Borst, le catharisme s’est répandu de la Bulgarie à l’Angleterre ! Le nom apparaît cette année-là en All

8 obtus. La chevalerie errante des Franciscains se répandit en Italie comme les troubadours s’étaient répandus dans le Midi de la

9 épandit en Italie comme les troubadours s’étaient répandus dans le Midi de la France : par les routes, sur les places, de villag

10 ble bien que, dès le xive siècle, les hérétiques répandus désormais dans toute l’Europe, où l’Église les traque, aient cessé de

11 uts littéraires. Le xixe siècle bourgeois vit se répandre dans la conscience profane l’« instinct de mort » longtemps refoulé d

12 ! soufflez sur mon jardin pour que ses parfums se répandent  ! » Et saint Jean de la Croix : « Viens, Auster qui réveille les amou

13 ours, — Aspire à travers mon jardin — Et que s’en répandent les odeurs. » (Cantico, XXVI.) 161. José Ortega y Gasset, Über die L

14 edes… Le plus souvent, un voile de mélancolie est répandu sur toute l’action ; le nom de la Fontaine des Pleurs est éminemment

15 s antivitales longtemps contenues par le mythe se répandirent dans les domaines les plus divers, d’où résulta une dissociation, au

16 c’est Éros, l’amour-passion, l’amour païen, qui a répandu dans notre monde occidental le poison de l’ascèse idéaliste — tout ce

17 hérésie d’origine orientale. Cette hérésie s’est répandue d’abord dans les contrées les moins christianisées, précisément, là o

18 ncupiscence » (p. 200). Certes, une opinion assez répandue prête aux troubadours une attitude idéaliste du même genre que celle

19 ue que sociale. C’est un fait que l’hérésie s’est répandue chez les marchands des villes méridionales cinquante ans après les ch

20 ui est bien dans sa manière : « Théorie gnostique répandue peut-être, en Occident, par les cathares ? » On sait, d’autre part, q

21 les d’Ussel du Limousin, la poésie nouvelle va se répandre vers le sud toulousain et le sud-est provençal, avec lesquels on conf