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autrement il n’y aurait plus de roman. Mais cette
réponse
ne paraît convaincante qu’en vertu d’une coutume paresseuse de notre
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? ») Un dernier trait : lorsque Tristan reçoit la
réponse
favorable du roi acceptant de reprendre Iseut : Dex ! dist Tristan,
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plissement parfait, comme son triomphe… Une seule
réponse
demeure ici digne du mythe. Tristan et Iseut ne s’aiment pas, ils l’o
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problème aussi complexe, et en l’absence de toute
réponse
satisfaisante, c’est l’honnêteté d’un écrivain que de se borner à déc
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ture pour connaître cette poésie. Ainsi de chaque
réponse
proposée : le « sérieux » des savants paraissant consister surtout da
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. Le christianisme apporte au problème du Mal une
réponse
dialectique et paradoxale qui se résume dans les mots de liberté et d
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troubadours comme propagateurs de l’hérésie ? La
réponse
me paraît aisée. Il est clair que les troubadours n’étaient nullement
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mystère et perd stupidement son existence dans la
réponse
». Je voudrais au contraire approfondir, tout en la précisant autant
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de ce qui se trouve exprimé ? Quelle que soit la
réponse
qu’on donnera, une chose demeure certaine : c’est que nous sommes en
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e solution s’appelle l’État totalitaire. C’est la
réponse
du xxe siècle, né de la guerre, à la menace permanente que la passio
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instinct de mort font peser sur toute société. La
réponse
du xiie siècle avait été la chevalerie courtoise, son éthique et ses
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rtoise, son éthique et ses mythes romanesques. La
réponse
du xviie siècle a pour symbole la tragédie classique186. La réponse
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iècle a pour symbole la tragédie classique186. La
réponse
du xviiie fut le cynisme de Don Juan et l’ironie rationaliste. Mais
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e rationaliste. Mais le romantisme ne fut pas une
réponse
, à moins que l’on admette — et c’est possible — que son éloquent aban
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vant une attitude que je donne bien moins pour la
réponse
décisive, que pour mon choix particulier. 168. On en aura un aperç
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les de grande envergure nous indiquent un type de
réponse
, une solution peut-être inévitable. La Russie de la Révolution connut
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la Chine, y eût produit les mêmes effets. Mais la
réponse
n’importe pas ici : il nous suffit de marquer que les éléments occide
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lais entre la question qu’elles nous posent et la
réponse
de notre vie.) ⁂ Le second thème que j’esquisserai n’est peut-être pa
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un dialogue vrai. Alors l’angoisse comblée par la
réponse
, la nostalgie comblée par la présence cessent d’appeler un bonheur se
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ement dit facile à compenser, neutraliser, par la
réponse
que chacun sait. Mais voici tout d’un coup qu’à cette incitation tout
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er hommes et femmes et provoquer chez eux cette «
réponse
altérée de l’organisme à des substances normalement tolérées » qui ca
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out l’impossible : l’infini dans un être fini. La
réponse
« normale » au désir étant de faire l’amour, ou de s’éloigner, la rép
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ésir étant de faire l’amour, ou de s’éloigner, la
réponse
passionnelle (allergique) est de se rendre la proie d’une fièvre quas