1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Préface à l’édition de 1956
1 ivre VI, et d’innombrables corrections de détail, témoignent , je l’espère, d’un réalisme accru. Décrire le conflit nécessaire de l
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
2 ns révolutionnaires, et dont les traits constants témoignent d’une origine commune, d’une tradition fidèlement conservée. Toutes c
3 bourgeoisé. (Çà et là une citation, une allusion, témoignent de la connaissance que Rousseau avait de Pétrarque, véritable invente
4 rapidement et complètement ne saurait d’ailleurs témoigner d’une vitalité sociale exceptionnelle : c’est plutôt la frivolité du
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre V. Amour et guerre
5 voquaient parfois d’éclatants adultères, comme le témoigne , à propos du tournoi de 1389, le Religieux de Saint-Denis et, sur la
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre VII. L’amour action, ou de la fidélité
6 porte en lui-même une vérité imperturbable, s’il témoigne sans cesse en faveur de ce qui transcende tout résultat, même excelle
7 homme soit saint comme Dieu est saint. Et l’homme témoigne de son amour pour une femme en la traitant comme une personne humaine
5 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
8 de mon ouvrage « réside avant tout en ceci qu’il témoigne d’un assouplissement récent et profond des méthodes historiques sous