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rine de l’amour aux « romanciers » du cycle de la
Table ronde
. Et l’on peut suivre les voies de cette transmission dans les documen
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aal le vase qui reçut le sang du Christ, et de la
Table ronde
une sorte d’autel pour la Sainte-Cène. Cependant, même dans le grand
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xactement identifiables que dans les romans de la
Table ronde
. ⁂ Hubert note très bien à propos de la littérature galloise que « c’
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bsiste également dans Tristan et les romans de la
Table ronde
. On y voit un grand nombre d’aventures débuter par une promesse « en
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de confusions de symboles. 82. Les Romans de la
Table ronde
, nouvellement rédigés par J. Boulenger, IV, p. 238. 83. Dans un autr
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ançois nommait le frère Gilles « un paladin de sa
Table ronde
» et les miracles du saint — comme la conversion du loup de Gubbio —
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ésert, et les apôtres, les douze chevaliers de la
Table ronde
. L’ésotérisme manichéisant, toujours latent dans le cycle breton, ren
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légende celtique d’Arthur et des chevaliers de la
Table ronde
. Dans son Penseroso, éloge de la Mélancolie nocturne, s’adressant à c
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des tournois emprunte ses idées aux romans de la
Table ronde
. Ainsi, au xve siècle, le Pas d’Armes dit de la Fontaine des Pleurs
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sang. (Ainsi fait Lancelot dans les romans de la
Table ronde
.) « L’atmosphère de passion qui entourait les tournois explique l’hos
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vivre ». Les légendes épiques et les romans de la
Table ronde
multiplient les récits de tueries inouïes ; la gloire d’un chevalier
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découvreurs Galaad et Perceval… L’aventure de la
Table ronde
finit aussi par un échec complet… (p. 89). L’instinct de mort et de s
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urtois, Flamenca et Jaufré, dans les romans de la
Table ronde
et dans le Parzifal de Wolfram d’Eschenbach, où les amants se couchen