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s de rhétorique sans conséquences. Soit. Mais les
théories
que les troubadours développaient avec une si grave application, ne s
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on l’ouvrage de Wechssler, qui soutient que les «
théories
amoureuses du Moyen Âge ne sont qu’un reflet de ses idées religieuses
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de ses adversaires que cette école proposait une
théorie
érotique des rêves. Or les poèmes surréalistes conservés et traduits
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été avant tout un savant ; qu’il ait soutenu une
théorie
de la libido ; et qu’il ait pris une attitude déterministe : or le su
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t l’ont vénéré ; nous savons que, sans lui, leurs
théories
et leur lyrisme eussent été tout différents ; nous savons que ces poè
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surcroît d’informations sur la nature exacte des
théories
de Freud, loin de fournir aux savants futurs les apaisements qu’ils s
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que, une conception religieuse, ou simplement une
théorie
de l’homme — et une forme lyrique déterminée. (Rapports entre le souf
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du Collier de la colombe d’Ibn Hazm — qui est une
théorie
de l’amour courtois arabe — et son ouvrage d’ensemble, Hispano-Arabic
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? Rien ne permet de l’affirmer historiquement. En
théorie
cependant l’objection reste possible, et même inévitable. On connaît
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remier seul trouve grâce aux yeux de l’auteur. La
théorie
de la cristallisation doit l’expliquer. « Ce que j’appelle cristallis
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es et éblouissants ». Tomber amoureux, dans cette
théorie
, c’est attribuer à une femme des perfections qu’elle ne possède nulle
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ga qui a souligné le premier161 que cette célèbre
théorie
revient à faire de l’amour passionné une simple erreur. « Non point q
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il supprime simplement tout problème, grâce à sa
théorie
de la cristallisation, donc de l’erreur. Ce qui explique la passion,
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n’est pas nécessaire par exemple de recourir aux
théories
de Freud pour constater que l’instinct de guerre et l’érotisme sont f
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usewitz, lequel n’a cessé d’affirmer que toute la
théorie
prussienne de la guerre devait se fonder sur l’expérience des campagn
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auteur du Mutterrecht : le Matriarcat) expose une
théorie
analogue à propos de la tragédie grecque, considérée comme l’Auseinan
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soit qu’elle projette sur l’avenir collectif une
théorie
ou des préceptes raisonnables, mais dont les effets lointains ne saur
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aît déjà plus d’un demi-siècle d’existence. Cette
théorie
repose d’ailleurs sur une radicale méconnaissance tant de l’hérésie c
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« fait », d’ailleurs unique, et qui ruinerait ma
théorie
, la propagation de l’hérésie chez les marchands du Midi vers 1165, c’
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expliquer la soumission à la dame, il reprend la
théorie
du jongleur qui « aime en trop haut lieu ». (C’est le fameux « ver de
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en a au moins un — est la réfutation vivante des
théories
multipliées non seulement sur l’absence factuelle, mais surtout sur l
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d’interrogation qui est bien dans sa manière : «
Théorie
gnostique répandue peut-être, en Occident, par les cathares ? » On sa