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gagement supposait à mon sens tout le contraire :
responsabilité
pleine et entière non seulement publiée mais assumée d’une personne e
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peut être aujourd’hui, au fait et au prendre, la
responsabilité
de l’écrivain dans la cité, c’est-à-dire dans la société européenne ?
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transmise et récitée de mémoire sur la place, la
responsabilité
sociale de l’auteur, du poète, de « celui-qui-fait » c’est-à-dire qui
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hui ne retrouve guère qu’une forme négative de sa
responsabilité
originelle : c’est ce qu’on nomme en France, depuis Mai 68, d’un term
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ue celui de leurs œuvres écrites ou peintes. Leur
responsabilité
civique est nulle, voire négative, le seul régime qui puisse correspo
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e de leurs relations avec l’époque et le degré de
responsabilité
civique qu’ils assument : le ludion, le contestataire et le prophète.
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és actives de la société. Telle est l’inéluctable
responsabilité
de l’écrivain le moins enclin qui soit à prendre parti sur la Place :
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lles aspirent à la fin de leur liberté et de leur
responsabilité
. Je voudrais suggérer ici que seule une conception de l’homme comme p