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adapté aux préoccupations des différents congrès
où
je les ai prononcés. Le lecteur y trouvera bien des répétitions. Puis
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arge du terme. Il serait vain de rêver d’union là
où
n’existe pas d’unité préalable sur quoi bâtir. Il faut faire l’union
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que c’était sur ces maîtres qu’il fallait agir. D’
où
la Campagne d’éducation civique européenne, qui groupe pour une actio
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en 1949, pour la conférence de Lausanne, un texte
où
il affirmait que la culture française n’avait d’autre avenir que dans
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épenses militaires et les centrales nucléaires. D’
où
l’impression générale que l’homme ne peut rien sur l’évolution généra
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st pas notre affaire, mais celle des ordinateurs.
Où
sont les grands écrivains, les grands philosophes, les grands artiste
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toute responsabilité civique ; dans l’anti-Europe
où
se retrouvent nationalistes et staliniens impénitents ; ou dans l’amb
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phie, économie sont enseignées à partir de l’État
où
l’on est né. Le nationalisme antieuropéen nous est donc inculqué dès
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é plus évidente et plus nécessaire qu’aujourd’hui
où
, dans le grand ébranlement de nos valeurs et de nos traditions, nous
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ronde, tenue à Rome en 1953, s’était demandé : d’
où
vient l’Europe, et sur quelles bases d’unité culturelle édifier son u
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e ronde, que nous inaugurons, se demande plutôt :
où
va l’Europe ? et plus exactement : où voulons-nous qu’elle aille ? Si
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de plutôt : où va l’Europe ? et plus exactement :
où
voulons-nous qu’elle aille ? Si les deux Tables rondes diffèrent visi
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saisir et peut seule activer dans notre histoire.
Où
irons-nous ? Au nom de quoi ? Et en vue de quelles fins faut-il créer
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ues, de Nicée en 325 à Chalcédoine en 451, époque
où
l’Église s’installe dans les cadres de l’Empire romain et tente de fo
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lier, et de parler comme si nous étions n’importe
où
. En me promenant hier soir j’ai repensé à la question que m’avait pos
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ns un fameux discours de Lyon, en 1969, je crois,
où
il faisait de la région la nouvelle forme de communauté du xxe siècl
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nce mondiale écrasante, mais de créer une société
où
la personne puisse se réaliser. ⁂ J’eus ensuite à passer la parole à
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ma place dans l’amphithéâtre de la Kongresshalle
où
l’Assemblée s’est ouverte depuis quelques heures, il me semble qu’une
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le de Jérusalem, ce ravin désolé de Guei Hinnom «
où
le feu ne s’éteint jamais », comme c’est le cas dans toutes les décha
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s », comme c’est le cas dans toutes les décharges
où
l’on rejette ce qui n’a pas trouvé sa raison d’être ou qui a refusé s
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l sont nées les légendes médiévales sur « l’Enfer
où
damnés sont bouillus » (Villon).] L’homme est en train de faire mouri
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stion leur formule : elle est tabou. Rechercher d’
où
ils viennent dans le temps et l’espace, les situer dans l’histoire, d
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s est à chercher sur un tout autre plan que celui
où
la crise se déclare, à savoir sur le plan des vraies causes de la cri
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, est aussi le fauteur de la crise dans la mesure
où
l’obsession de la puissance est l’ultima ratio de ses décisions. Mais
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sance est l’ultima ratio de ses décisions. Mais d’
où
tient-il sa puissance ? Je pense que c’est du vide civique créé par
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du forum (devenu parking). Recréer une communauté
où
l’homme puisse de nouveau participer et recouvrer sa dimension commun
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breux cas, chevauchent des frontières nationales.
Où
placer les pouvoirs de décision et comment les harmoniser au niveau r
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Suisse à l’Espagne, et de Bayreuth à la Croatie,
où
nous nous retrouvons aujourd’hui ; dans l’antique Raguse et l’actuell
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industrielle, c’est-à-dire le statut des usines [
où
l’autogestion est acquise, officiellement, et n’en marche pas mieux]
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e centrale de la cité, dallée de marbre bien usé,
où
je me souviens que d’autres fois, il y a dix ans, il y a cinq ou six