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et, du moins dans ses contours les plus généraux.
Sans
vouloir méconnaître l’attachement qu’ont toujours montré les USA, au
2
on chapitre de la recherche scientifique, le coût
sans
cesse plus élevé des installations nécessaires et sa disproportion av
3
nnuelles très supportables. À titre d’exemple, et
sans
engager le gouvernement français, M. Auger précise qu’une dépense ann
4
r pour le Laboratoire une première mise de fonds,
sans
attendre les contributions gouvernementales pour amorcer le travail.
5
aient dans une sorte de « vide » intellectuel, et
sans
être constamment (comme les théoriciens de Princeton) alimentés en pr
6
La Commission a donné mandat à M. Auger de créer
sans
attendre, en liaison avec M. Dautry, un Bureau d’études qui étudiera
7
discours sur les origines du CERN. Il ne sera pas
sans
intérêt pour l’historien de rapprocher les souvenirs de P. Auger des
8
der dans la formulation de leurs programmes, mais
sans
prélever de fonds sur son budget régulier pour participer aux frais d
9
s sciences, j’étais chargé de la mettre en œuvre.
Sans
argent, ce n’était pas très facile. Ce que j’ai pu faire, les premier
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for cities to burn. Voué à la connaissance pure,
sans
nulle tricherie ou arrière-pensée militaire, le CERN, s’il était prop