1 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. I. Préhistoire du CERN
1 s de la 5e session de la Conférence générale de l’ Unesco , réunie à Florence en 1950, que fut adoptée, sur une proposition de l
2 breuses discussions qui avaient lieu au sein de l’ Unesco et du Conseil économique et social de l’ONU. Le rapport du CERN ajout
3 es et prometteurs. » L’année suivante, en 1951, l’ Unesco soumit aux gouvernements le projet du « Laboratoire international (eu
4 ires », qui doit être construit à Genève. Comme l’ Unesco ne pouvait pas, tant pour des raisons financières qu’administratives,
5 nismes nationaux correspondants et avec ceux de l’ Unesco  ». Comme application caractéristique des principes énoncés dans la ré
6 a création immédiate, à Paris, en relation avec l’ Unesco , d’un bureau d’études chargé de mettre au point le programme des trav
7 amme des travaux. Il était en outre convenu que l’ Unesco réunirait des délégués gouvernementaux pour étudier avec eux le finan
8 nventions internationales à établir. Le rôle de l’ Unesco a donc consisté, en résumé, à porter le projet du CEC (Lausanne 1949,
9 ements, a cessé d’être lié, soit au CEC, soit à l’ Unesco . Ainsi se trouve très clairement établie l’origine européenne d’un pr
10 nismes nationaux correspondants et avec ceux de l’ Unesco . Comme application caractéristique des principes énoncés dans la prés
11 nies et des différents pays ? Des contacts avec l’ Unesco (qui est toute désignée pour appuyer de son autorité et de ses moyens
12 ramme et du budget de la Conférence générale de l’ Unesco qui autorise son directeur général « à aider et à encourager la forma
13 t cette résolution, précisa qu’il appartenait à l’ Unesco d’étudier le coût et l’emplacement de ces centres, d’apporter son aid
14 ntres déjà existants. Parmi les centres prévus, l’ Unesco a particulièrement souligné l’intérêt de la création, en Europe occid
15 x. Enfin, M. Torrès-Bodet, directeur général de l’ Unesco vient d’appuyer de son autorité personnelle ce projet de « création d
16 résolution n° 2.21 de la Conférence générale de l’ Unesco , à Florence, en juin 1950, vu la résolution du Conseil économique et
17 ande : a) la création, conformément aux vœux de l’ Unesco et du Centre européen de la culture, et en relation avec leurs secrét
18 a création immédiate, à Paris, en relation avec l’ Unesco , d’un Bureau d’études chargé de préparer les plans de construction, l
19 partement des sciences exactes et naturelles de l’ Unesco  ; Paul Capron (Belgique), vice-président de la Commission scientifiqu
20 Nobel de physique, à la Conférence générale de l’ Unesco , à Florence, et votée le 16 juin 1950, entraînant l’adhésion de princ
21 hésion de principe des gouvernements membres de l’ Unesco . Cette résolution précise que : « le directeur général (de l’Unesco)
22 lution précise que : « le directeur général (de l’ Unesco ) est autorisé à : faciliter et encourager la création et l’organisati
23 intéressée ne sauraient permettre d’y parvenir. L’ Unesco devra déterminer dans quelle mesure la création de tels centres de re
24 des particules de haute énergie. Néanmoins, si l’ Unesco avait voulu exécuter seule cette résolution, elle aurait eu des diffi
25 e représentant officiel du directeur général de l’ Unesco M. Torrès-Bodet, qui l’a prié : 1. d’obtenir des conseils de la Commi
26 utir à un programme précis de coopération entre l’ Unesco et le Centre européen de la culture sur cette question. 3. (paragraph
27 arera pour la signature du directeur général de l’ Unesco une lettre demandant aux gouvernements dont la participation est prév
28 légué à une réunion envisagée pour avril 1951 à l’ Unesco . Cette réunion, après examen des plans préparés par le Bureau d’étude
29 M. Auger préciser que la Yougoslavie, membre de l’ Unesco , serait certainement heureuse de pouvoir faire participer ses cherche
30 ès l’été 1951, le projet est pris en charge par l’ Unesco , qui le négocie avec 14 gouvernements européens. Une série de colloqu
31 venue une phase essentielle et qui a pour cadre l’ Unesco , lors de sa cinquième assemblée générale, en juin 1950 à Florence. La
32 a comparaison de ces chiffres avec le budget de l’ Unesco devait produire sur les dirigeants de cette dernière organisation un
33 déjà nettement. Par rapport à la résolution de l’ Unesco , plusieurs pas importants étaient faits : le programme, la constructi
34 a conférence constitutive. L’argent fut versé à l’ Unesco dans un compte spécial, à ma disposition directe. Je pus alors consti
35 ut commencer ; je dois dire que j’avais reçu de l’ Unesco une contribution essentielle : la collaboration de Jean Mussard, alor
36 tion du CERN se sont produites dans le cadre de l’ Unesco — en particulier la séance de Paris puis de Genève où le CERN I, orga
37 omme suite à la conférence dite « Minespol » de l’ Unesco où les ministres responsables de la politique scientifique des pays d
38 . Un bureau européen va peut-être fonctionner à l’ Unesco et on pourrait en attendre des services importants. Nucléaire et eu