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s de la 5e session de la Conférence générale de l’
Unesco
, réunie à Florence en 1950, que fut adoptée, sur une proposition de l
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breuses discussions qui avaient lieu au sein de l’
Unesco
et du Conseil économique et social de l’ONU. Le rapport du CERN ajout
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es et prometteurs. » L’année suivante, en 1951, l’
Unesco
soumit aux gouvernements le projet du « Laboratoire international (eu
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ires », qui doit être construit à Genève. Comme l’
Unesco
ne pouvait pas, tant pour des raisons financières qu’administratives,
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nismes nationaux correspondants et avec ceux de l’
Unesco
». Comme application caractéristique des principes énoncés dans la ré
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a création immédiate, à Paris, en relation avec l’
Unesco
, d’un bureau d’études chargé de mettre au point le programme des trav
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amme des travaux. Il était en outre convenu que l’
Unesco
réunirait des délégués gouvernementaux pour étudier avec eux le finan
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nventions internationales à établir. Le rôle de l’
Unesco
a donc consisté, en résumé, à porter le projet du CEC (Lausanne 1949,
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ements, a cessé d’être lié, soit au CEC, soit à l’
Unesco
. Ainsi se trouve très clairement établie l’origine européenne d’un pr
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nismes nationaux correspondants et avec ceux de l’
Unesco
. Comme application caractéristique des principes énoncés dans la prés
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nies et des différents pays ? Des contacts avec l’
Unesco
(qui est toute désignée pour appuyer de son autorité et de ses moyens
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ramme et du budget de la Conférence générale de l’
Unesco
qui autorise son directeur général « à aider et à encourager la forma
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t cette résolution, précisa qu’il appartenait à l’
Unesco
d’étudier le coût et l’emplacement de ces centres, d’apporter son aid
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ntres déjà existants. Parmi les centres prévus, l’
Unesco
a particulièrement souligné l’intérêt de la création, en Europe occid
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x. Enfin, M. Torrès-Bodet, directeur général de l’
Unesco
vient d’appuyer de son autorité personnelle ce projet de « création d
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résolution n° 2.21 de la Conférence générale de l’
Unesco
, à Florence, en juin 1950, vu la résolution du Conseil économique et
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ande : a) la création, conformément aux vœux de l’
Unesco
et du Centre européen de la culture, et en relation avec leurs secrét
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a création immédiate, à Paris, en relation avec l’
Unesco
, d’un Bureau d’études chargé de préparer les plans de construction, l
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partement des sciences exactes et naturelles de l’
Unesco
; Paul Capron (Belgique), vice-président de la Commission scientifiqu
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Nobel de physique, à la Conférence générale de l’
Unesco
, à Florence, et votée le 16 juin 1950, entraînant l’adhésion de princ
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hésion de principe des gouvernements membres de l’
Unesco
. Cette résolution précise que : « le directeur général (de l’Unesco)
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lution précise que : « le directeur général (de l’
Unesco
) est autorisé à : faciliter et encourager la création et l’organisati
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intéressée ne sauraient permettre d’y parvenir. L’
Unesco
devra déterminer dans quelle mesure la création de tels centres de re
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des particules de haute énergie. Néanmoins, si l’
Unesco
avait voulu exécuter seule cette résolution, elle aurait eu des diffi
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e représentant officiel du directeur général de l’
Unesco
M. Torrès-Bodet, qui l’a prié : 1. d’obtenir des conseils de la Commi
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utir à un programme précis de coopération entre l’
Unesco
et le Centre européen de la culture sur cette question. 3. (paragraph
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arera pour la signature du directeur général de l’
Unesco
une lettre demandant aux gouvernements dont la participation est prév
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légué à une réunion envisagée pour avril 1951 à l’
Unesco
. Cette réunion, après examen des plans préparés par le Bureau d’étude
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M. Auger préciser que la Yougoslavie, membre de l’
Unesco
, serait certainement heureuse de pouvoir faire participer ses cherche
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ès l’été 1951, le projet est pris en charge par l’
Unesco
, qui le négocie avec 14 gouvernements européens. Une série de colloqu
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venue une phase essentielle et qui a pour cadre l’
Unesco
, lors de sa cinquième assemblée générale, en juin 1950 à Florence. La
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a comparaison de ces chiffres avec le budget de l’
Unesco
devait produire sur les dirigeants de cette dernière organisation un
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déjà nettement. Par rapport à la résolution de l’
Unesco
, plusieurs pas importants étaient faits : le programme, la constructi
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a conférence constitutive. L’argent fut versé à l’
Unesco
dans un compte spécial, à ma disposition directe. Je pus alors consti
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ut commencer ; je dois dire que j’avais reçu de l’
Unesco
une contribution essentielle : la collaboration de Jean Mussard, alor
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tion du CERN se sont produites dans le cadre de l’
Unesco
— en particulier la séance de Paris puis de Genève où le CERN I, orga
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omme suite à la conférence dite « Minespol » de l’
Unesco
où les ministres responsables de la politique scientifique des pays d
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. Un bureau européen va peut-être fonctionner à l’
Unesco
et on pourrait en attendre des services importants. Nucléaire et eu