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st, peut-on lire, au cours de la 5e session de la
Conférence
générale de l’Unesco, réunie à Florence en 1950, que fut adoptée, sur
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on, cet organisme convoqua, en décembre 1951, une
conférence
de représentants gouvernementaux ayant pour tâche d’assurer l’organis
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tion et le financement des études nécessaires. La
Conférence
aboutit à la création, le 15 février 1952, du « Conseil européen pour
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e Genève du 12 décembre 1950 C’est au cours de la
Conférence
européenne de la culture, réunie à Lausanne, du 8 au 12 décembre 1949
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à la quasi-unanimité des délégués de 22 pays, la
Conférence
recommandait : « … la création d’instituts européens spécialisés, en
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ique des principes énoncés dans la résolution, la
Conférence
proposait de « mettre à l’étude la création d’un Institut de science
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Centre européen de la culture, organisateur de la
Conférence
, comme l’une de ses premières tâches. La Commission de coopération sc
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ue je lui avais soumis en vue de la réunion d’une
Conférence
européenne de la culture, que le Mouvement européen avait chargé son
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ort général présenté à la séance inaugurale de la
Conférence
par son auteur, D. de Rougemont, orientait les débats vers des objets
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échapper à personne, sera soumis à l’examen de la
Conférence
. Ces deux messages, et la partie du Rapport général consacrée aux sc
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rigeants du Mouvement européen, qui patronnait la
Conférence
. L’un d’eux, radicalement hostile à toute discussion publique des pro
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ans une salle du Tribunal fédéral où se tenait la
Conférence
, et s’ils voulaient sortir, il leur fallait téléphoner au secrétariat
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isserons la parole à Raoul Dautry. Un an après la
conférence
de Lausanne, le 7 décembre 1950, il communiquait au CEC l’article sui
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e recherches météorologiques en Suède. C’est à la
Conférence
européenne de la culture, tenue à Lausanne des 8 au 12 décembre 1949,
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va), présidée par M. Salvador de Madariaga, cette
Conférence
groupa 170 délégués représentant 22 pays européens. Un important mess
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votée dans le corps des résolutions prises par la
Conférence
: « La Conférence européenne de la culture considérant que la coopér
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des résolutions prises par la Conférence : « La
Conférence
européenne de la culture considérant que la coopération des nations d
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ant la Commission du programme et du budget de la
Conférence
générale de l’Unesco qui autorise son directeur général « à aider et
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rance et le Danemark a préconisé la réunion d’une
conférence
de savants pour formuler des observations et notamment établir un ord
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d’ouverture, à Nice, le 5 décembre dernier, de la
Conférence
internationale des universités où se sont réunis les recteurs et prof
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re européen de la culture, vu la résolution de la
Conférence
européenne de la culture, à Lausanne, en décembre 1949, sur la coordi
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hes scientifiques, vu la résolution n° 2.21 de la
Conférence
générale de l’Unesco, à Florence, en juin 1950, vu la résolution du C
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physique nucléaire (ainsi certains délégués à la
conférence
de Lausanne craignaient une opposition américaine entraînant les réti
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cain, le prof. Rabi, prix Nobel de physique, à la
Conférence
générale de l’Unesco, à Florence, et votée le 16 juin 1950, entraînan
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x frais de construction ou d’entretien. » À cette
conférence
de Florence, le prof. Rabi avait précisé oralement qu’il envisageait
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de l’idée est débattue, et le rôle initial de la
conférence
de Lausanne en 1949 établi en toute clarté. (Voir l’Appendice, p. 40)
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rappellera dans son discours le rôle joué par la
conférence
de Lausanne et par le CEC. Le 16 août 1957, le directeur général du C
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est plus difficile à préciser : on peut citer la
conférence
de Lausanne du 9 décembre 1949, au cours de laquelle un message de Lo
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disposais d’aucune ressource budgétaire après la
Conférence
générale de Florence. Après la réunion de Genève, je reçus 3 millions
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ner les groupes de travail nécessaires jusqu’à la
conférence
constitutive. L’argent fut versé à l’Unesco dans un compte spécial, à
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oires coopératifs nouveaux, mais comme suite à la
conférence
dite « Minespol » de l’Unesco où les ministres responsables de la pol
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s nucléaires », puis à la Résolution finale de la
Conférence
qu’il faut faire remonter l’origine précise du projet. Quant aux « ap
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e qu’on appelle le Mouvement européen, lors de la
conférence
de Lausanne de cette organisation. »8 (p. 3229, col. l) M. Jules Moc
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atte a précisé que « dès la session de 1949 de la
Conférence
européenne de la culture, tenue à Lausanne, M. Dautry donnait lecture
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à la troisième ligne duquel je lis : « C’est à la
Conférence
européenne de la culture tenue à Lausanne en décembre 1949, sous les