1 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. I. Préhistoire du CERN
1 st, peut-on lire, au cours de la 5e session de la Conférence générale de l’Unesco, réunie à Florence en 1950, que fut adoptée, sur
2 on, cet organisme convoqua, en décembre 1951, une conférence de représentants gouvernementaux ayant pour tâche d’assurer l’organis
3 tion et le financement des études nécessaires. La Conférence aboutit à la création, le 15 février 1952, du « Conseil européen pour
4 e Genève du 12 décembre 1950 C’est au cours de la Conférence européenne de la culture, réunie à Lausanne, du 8 au 12 décembre 1949
5 à la quasi-unanimité des délégués de 22 pays, la Conférence recommandait : « … la création d’instituts européens spécialisés, en
6 ique des principes énoncés dans la résolution, la Conférence proposait de « mettre à l’étude la création d’un Institut de science
7 Centre européen de la culture, organisateur de la Conférence , comme l’une de ses premières tâches. La Commission de coopération sc
8 ue je lui avais soumis en vue de la réunion d’une Conférence européenne de la culture, que le Mouvement européen avait chargé son
9 ort général présenté à la séance inaugurale de la Conférence par son auteur, D. de Rougemont, orientait les débats vers des objets
10 échapper à personne, sera soumis à l’examen de la Conférence . Ces deux messages, et la partie du Rapport général consacrée aux sc
11 rigeants du Mouvement européen, qui patronnait la Conférence . L’un d’eux, radicalement hostile à toute discussion publique des pro
12 ans une salle du Tribunal fédéral où se tenait la Conférence , et s’ils voulaient sortir, il leur fallait téléphoner au secrétariat
13 isserons la parole à Raoul Dautry. Un an après la conférence de Lausanne, le 7 décembre 1950, il communiquait au CEC l’article sui
14 e recherches météorologiques en Suède. C’est à la Conférence européenne de la culture, tenue à Lausanne des 8 au 12 décembre 1949,
15 va), présidée par M. Salvador de Madariaga, cette Conférence groupa 170 délégués représentant 22 pays européens. Un important mess
16 votée dans le corps des résolutions prises par la Conférence  : « La Conférence européenne de la culture considérant que la coopér
17 des résolutions prises par la Conférence : « La Conférence européenne de la culture considérant que la coopération des nations d
18 ant la Commission du programme et du budget de la Conférence générale de l’Unesco qui autorise son directeur général « à aider et
19 rance et le Danemark a préconisé la réunion d’une conférence de savants pour formuler des observations et notamment établir un ord
20 d’ouverture, à Nice, le 5 décembre dernier, de la Conférence internationale des universités où se sont réunis les recteurs et prof
21 re européen de la culture, vu la résolution de la Conférence européenne de la culture, à Lausanne, en décembre 1949, sur la coordi
22 hes scientifiques, vu la résolution n° 2.21 de la Conférence générale de l’Unesco, à Florence, en juin 1950, vu la résolution du C
23 physique nucléaire (ainsi certains délégués à la conférence de Lausanne craignaient une opposition américaine entraînant les réti
24 cain, le prof. Rabi, prix Nobel de physique, à la Conférence générale de l’Unesco, à Florence, et votée le 16 juin 1950, entraînan
25 x frais de construction ou d’entretien. » À cette conférence de Florence, le prof. Rabi avait précisé oralement qu’il envisageait
26 de l’idée est débattue, et le rôle initial de la conférence de Lausanne en 1949 établi en toute clarté. (Voir l’Appendice, p. 40)
27 rappellera dans son discours le rôle joué par la conférence de Lausanne et par le CEC. Le 16 août 1957, le directeur général du C
28 est plus difficile à préciser : on peut citer la conférence de Lausanne du 9 décembre 1949, au cours de laquelle un message de Lo
29 disposais d’aucune ressource budgétaire après la Conférence générale de Florence. Après la réunion de Genève, je reçus 3 millions
30 ner les groupes de travail nécessaires jusqu’à la conférence constitutive. L’argent fut versé à l’Unesco dans un compte spécial, à
31 oires coopératifs nouveaux, mais comme suite à la conférence dite « Minespol » de l’Unesco où les ministres responsables de la pol
32 s nucléaires », puis à la Résolution finale de la Conférence qu’il faut faire remonter l’origine précise du projet. Quant aux « ap
33 e qu’on appelle le Mouvement européen, lors de la conférence de Lausanne de cette organisation. »8 (p. 3229, col. l) M. Jules Moc
34 atte a précisé que « dès la session de 1949 de la Conférence européenne de la culture, tenue à Lausanne, M. Dautry donnait lecture
35 à la troisième ligne duquel je lis : « C’est à la Conférence européenne de la culture tenue à Lausanne en décembre 1949, sous les