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ise… On leur répond que selon tous les calculs, l’
électricité
nucléaire se trouve d’ores et déjà compétitive avec l’électricité d’o
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éaire se trouve d’ores et déjà compétitive avec l’
électricité
d’origine hydraulique ou à mazout. — Et les risques de radiations ? d
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ant d’une importante société suisse productrice d’
électricité
répond fin 1972 que cette objection est facilement résolue : on envoi
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t que nous ne pouvons plus attendre. La demande d’
électricité
double tous les sept ans, c’est un fait établi, et nous sommes tenus
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s sept ans, il faudrait produire deux fois plus d’
électricité
, c’est peut-être possible ; dans quatorze ans quatre fois plus, c’est
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e sont les dirigeants des sociétés productrices d’
électricité
, bientôt suivis par les ministres et leurs experts. Mais pourquoi nou
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onsables de la production et de la distribution d’
électricité
nous répètent que « leur seule ambition — conformément à leur mission
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1970, on le précise) — de développer les ventes d’
électricité
pour préparer la substitution de l’électricité nucléaire au pétrole…
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d’électricité pour préparer la substitution de l’
électricité
nucléaire au pétrole… (Le Monde, 24 janvier 1975.) On ne « répond »
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ire au marketing. Pour faire face à la demande en
électricité
dont on assure, sans nul souci de vraisemblance, qu’elle va sans fin
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1976.) Les États et leurs sociétés productrices d’
électricité
publient des chiffres et des calculs en caoutchouc d’où résulterait q
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înements mystérieux le fait de ne pas ajouter à l’
électricité
disponible un 20 % dont il est avéré que l’on peut se passer, ramèner