1
ose une production au moins doublée d’aliments, d’
énergie
, de machines et d’emplois, et une consommation au moins doublée d’oxy
2
faudra beaucoup plus, puisque déjà des pénuries d’
énergie
, d’air pur et d’eau s’annoncent dans les pays industriels, cependant
3
grands services publics, voirie, police, hygiène,
énergie
, instruction publique, sont laissés à la charge des moins favorisés,
4
e temps à perdre pour préparer d’autres sources d’
énergie
. » (On sait que les grands pétroliers investissent généreusement dans
5
innovation une dépense de travail, de temps et d’
énergie
telle que c’est vous qui allez bientôt me dire que la « meilleure » t
6
elle-même. (Par exemple, il faudrait recourir à l’
énergie
tirée de la fission nucléaire pour développer les techniques permetta
7
évelopper les techniques permettant d’exploiter l’
énergie
de fusion.) Il n’y a donc d’« impératifs techniques » que dans un mon
8
machines et, sans doute, par cent-millions avec l’
énergie
atomique. Et plus elle est puissante sur la nature, moins l’homme con
9
la guerre de 14-18 ; radar, cybernétique, fusées,
énergie
atomique et théorie des jeux dans la guerre de 39-45 ; expériences B
10
O2 et le CO, et en chaleur, forme inférieure de l’
énergie
. Entre le début et le terme de ces opérations, un énorme accroissemen
11
déplacements personnels multipliés, transferts d’
énergie
, télécommunications, etc.) Parce qu’elle joue sur l’inerte, et non su
12
it les combinaisons précises mais invisibles de l’
énergie
. Notre technologie est ainsi la figure la plus ressemblante de l’Occi
13
tif que de l’abstrait ; pas du tout gaspilleuse d’
énergie
; intégrée à la nature ; non polluante ; décentralisatrice ; d’autant
14
lités », ou la peur d’être libre Le débat de l’
énergie
nucléaire dramatise d’une manière exemplaire toutes les motivations f
15
ble ; comme c’est en premier lieu le domaine de l’
énergie
, qui commande ceux de l’industrie, des transports et de l’urbanisme,
16
’en crois rien. Car les problèmes que nous pose l’
énergie
ne dépendent pas des grands « impératifs techniques », des « lois » q
17
q en RFA, un sur trois en Suisse ; des pénuries d’
énergie
sont en vue, à cause du suremploi, du boom industriel et de la « démo
18
Nous n’avons pas le choix ! » qu’un producteur d’
énergie
donnait au terme d’un débat public organisé par le CERN à Genève, m’a
19
la consommation dans un pays sous-développé de l’
énergie
produite par une petite centrale supposerait la création d’une infras
20
eurs dans les principales sociétés productrices d’
énergie
nucléaire aux USA. Ne sont-ils pas amenés à se prononcer comme des av
21
nale en péril » — dans le domaine, au moins, de l’
énergie
. Nous ne pouvons plus dépendre des émirs, et le pétrole va s’épuiser
22
Depuis que le prix du pétrole brut a quadruplé, l’
énergie
nucléaire devient compétitive. (Elle l’était hier déjà, qui trompe-t-
23
affirme en 1973 un directeur au Commissariat de l’
énergie
atomique français (CEA). La même année, l’AEC américaine reconnaît ce
24
petite bombe d’Hiroshima. 3. « Le nucléaire :
énergie
propre. » — Pas de fumées sulfureuses, en effet. Et le rayonnement, q
25
, comme Paris, Londres, Vienne ? Les transports d’
énergie
sont très chers, de la Bretagne ou de l’Alsace à Paris : pourquoi ne
26
— C’est ce que déclare l’Union des exportateurs d’
énergie
électrique de Suisse. Les usines au fil de l’eau (hydroélectriques) a
27
kilomètres de la ville) fait une conférence sur l’
énergie
nucléaire, et je lis dans les comptes rendus — tous pareils — que don
28
bulletin de presse de l’Association suisse pour l’
énergie
atomique. Une campagne de sondage pourra déjà commencer dans les proc
29
aration de Ralph Nader : « Nous n’aurons besoin d’
énergie
de fission que pendant trente-cinq à quarante ans, mais nous demandon
30
ic à se restreindre, et à réduire le gaspillage d’
énergie
qui explique sans doute ces courbes de croissance continue, tandis qu
31
r les Américains du Nord quant à leurs dépenses d’
énergie
. Pour rejoindre les USA, « ils doivent » tripler ou quintupler leur c
32
est de satisfaire au moindre coût les besoins en
énergie
électrique de la collectivité nationale50 ». Admettons, mais quels so
33
tique.) — Construire un réacteur coûte beaucoup d’
énergie
. Si la construction de centrales nucléaires augmente trop vite, elle
34
cléaires augmente trop vite, elle consomme plus d’
énergie
qu’elle n’en produit… Nous ne pouvons pas créer assez de potentiel nu
35
our demain : à supposer que dans cent ans toute l’
énergie
primaire soit d’origine nucléaire, si les tendances actuelles du déve
36
ursuivent… il faudra pour répondre à la demande d’
énergie
d’une population quadruplée construire 3000 groupements de centrales
37
onomiques actuels ». 10. « Les autres formes d’
énergie
, solaire, éolienne, géothermique, marémotrice, ne seront pas compéti
38
a recherche » qui explique le retard des formes d’
énergie
non nucléaires, mais simplement l’idolâtrie de l’État-nation. Il n’y
39
oujours pas au point, et on les rangera parmi les
énergies
de demain.54 » 11. « Les centrales nucléaires ou le chômage ! » —
40
era l’indépendance nationale dans le domaine de l’
énergie
. » — Tous les ministres chargés des questions de l’énergie l’ont affi
41
» — Tous les ministres chargés des questions de l’
énergie
l’ont affirmé, chacun dans son pays. Et les exemples d’affluer : La F
42
30 % seulement, par le Commissariat français à l’
énergie
atomique, chargé de fournir les idées ; le tout étant présidé par un
43
mment notre refus de multiplier la consommation d’
énergie
par 16 384 en quatre-vingt-dix-huit ans signifierait un retour aux ca
44
jours plus affamé et dévoreur de cette sorte-là d’
énergie
que l’État est seul en mesure de produire et de distribuer, entraînan
45
i — comme les rois antiques — qui dispense seul l’
Énergie
. Une énergie qui vous vient donc de l’extérieur et que les pouvoirs v
46
rois antiques — qui dispense seul l’Énergie. Une
énergie
qui vous vient donc de l’extérieur et que les pouvoirs vous assurent.
47
vous en viendrez peu à peu à l’idée de trouver l’
énergie
le plus près possible de vous, dans votre proche environnement, chute
48
plus loin. Vous en viendrez bientôt à chercher l’
énergie
en vous-même. Voilà le moment de la révolution, la seule réelle et ra
49
êmes de l’évolution vers le nucléaire. Chercher l’
énergie
qui est dans l’homme au lieu de sacrifier l’homme à l’énergie dispens
50
est dans l’homme au lieu de sacrifier l’homme à l’
énergie
dispensée par l’État, je dis que c’est une révolution parce que c’est
51
rreur de parcours sur les voies de la recherche d’
énergies
différentes, en vue d’une société moins résignée au pire. Tout cela s
52
fin, et des plus primitives, que le roi détient l’
énergie
, en est la source et fonde sur cela même sa royauté58. La majorité de
53
décembre 1976, quelque trois-cents producteurs d’
énergie
nucléaire. 49. Des trois usines de retraitement américaines, une seu
54
ur satisfaire à cette exigence. 51. Économies d’
énergie
: au cours de l’année de « crise du pétrole » (automne 1973 à automne
55
on le conseiller fédéral Brugger, « une épargne d’
énergie
de l’ordre de 20 % » (Cf. les journaux suisses du 16 février 1974). J
56
lis aussi, le 6 avril 1976, que la consommation d’
énergie
a régressé au total de 2 % en 1975 (– 0,6 % pour les ménages, — 5,8 %
57
çait, en Suisse comme en France et aux USA, que l’
énergie
nucléaire devait procurer dès 1985 les 20 % qui manqueraient dramatiq
58
. S’il est vrai que 20 % moins 20 % égale zéro, l’
énergie
nucléaire est superflue. 52. Un essai de réfutation de cette étude —
59
ns avec leurs bombes « propres », leurs sources d’
énergie
« indépendantes » et leur droit souverain de polluer tout ce qui leur
60
urelles ; la multiplication des sources locales d’
énergie
de toute nature ; l’augmentation du pouvoir d’achat des salariés, not
61
délinquance et le terrorisme ; le gaspillage de l’
énergie
; la pollution sous toutes ses formes… Ces bilans seraient comparable
62
économie industrielle dépend essentiellement de l’
énergie
, qui, en Europe, dépend à 80 % (USA 30 %) du monde arabe. Tous affirm
63
majeurs de notre société. J’ai évoqué le cas de l’
énergie
, mais que dire de ceux de la monnaie, de l’inflation, de l’environnem
64
corps, incapacité » (Littré). 80. Message sur l’
énergie
du président Nixon, 1971. On a fait aussi bien et même mieux en Europ
65
’elle l’a déjà percé, en ramenant un atome à de l’
énergie
, donc en réduisant la matière à quelque chose d’immatériel, pour parl
66
poursuivons notre effort technique (maîtrise de l’
énergie
atomique) en laissant en friche le champ des passions (nationalisme,
67
relevant le défi de l’explosion démographique, l’
énergie
nucléaire aurait réponse à tout, et bientôt l’homme ne se poserait pl
68
rd’hui une électricité produite par des sources d’
énergie
géothermique, éolienne, ou solaire. [Mais les calculs prévisionnels d
69
uerre du Kippour, bientôt suivie de la crise de l’
énergie
que ma première partie montrait inévitable. Me voilà pris de vitesse
70
rejettent par les tuyaux d’échappement 87 % de l’
énergie
qu’elles consomment. Mais le rendement négatif, en morts et en blessé
71
es magnats du pétrole et les grands producteurs d’
énergie
électrique. Et voilà la raison majeure de l’incapacité où nous étions
72
rhumain qu’il développe pendant un discours ? Une
énergie
de cette nature, on sent très bien qu’elle ne saurait se manifester q
73
i, plutôt que de se jeter dans la partie avec ses
énergies
, son astuce et sa foi, reste à se demander quelles sont ses chances…
74
ublicité et les grandes compagnies de Promotion d’
énergies
, d’autoroutes, d’armements ABC. Ce qui doit révolter, c’est moins la
75
à froid des dirigeants de sociétés productrices d’
énergie
jurant qu’il n’y aura pas d’accidents dans les centrales, que s’il y
76
rations immédiates », et n’a pas d’autre source d’
énergie
que leur effort, bientôt lassé, cassé, car après tout, le voyage et s
77
e non-messages, la machinerie de l’État utilise l’
énergie
produite par des milliers d’ambitions juvéniles ou séniles, et conser
78
tous égards et le risque de manquer de 5 à 10 % d’
énergie
électrique pendant la prochaine décennie, il vote pour les centrales,
79
(croissance matérielle indéfinie, gaspillage de l’
énergie
, toujours plus de tout à tout prix) sacrifiées sur l’autel de l’agora
80
conseillers dans les domaines de l’écologie, de l’
énergie
, de l’éducation, de l’agriculture, etc. Il n’a que faire d’informatio
81
sse d’utiliser par priorité ses sources locales d’
énergie
(charbon, eau, vents, soleil) et qu’elle y ordonne la nature et les r
82
ne peuvent que mesurer leur PNB. La crise de l’
énergie
appelle les régions La petite panique créée par la crise du pétrol
83
monopole de la production et de la distribution d’
énergie
, mais de puissants moyens de manipulation des investissements, et les
84
la légalité. Oui, je sais, il y a cette loi sur l’
énergie
nucléaire qui donne tous pouvoirs au Conseil fédéral, et c’est le peu
85
ait choisir entre sécurité, d’une part, pénurie d’
énergie
et chômage partiel de l’autre, il opterait, quoi qu’il pût lui en coû
86
ment, environnement, production et distribution d’
énergie
, transports, hygiène, implantations industrielles, planification agri
87
re » ne sont pas plus fauteurs d’une « crise de l’
énergie
» que le thermomètre n’est cause de la fièvre. Derrière ces attitudes
88
entrale nucléaire, option pour d’autres sources d’
énergie
, tracé des autoroutes et des canaux, grands travaux potentiellement d
89
cause. Nous l’avons vu : c’est au carrefour de l’
énergie
et de l’économie que l’échelon écologique régional se constitue et se
90
des industries, mines, automobiles, productions d’
énergie
. Elle ne correspond pas à la réalité de la nation, sauf si l’on confo
91
0 % en France !) ; le monopole de la production d’
énergie
et la manipulation des investissements qu’il permet, la propriété dir
92
s problèmes de production et de distribution de l’
énergie
. La première peut être englobée dans les autres qui la débordent, ou
93
ommerce, industries, production et distribution d’
énergie
, hygiène publique, etc. Certaines communes jugent de leur intérêt de
94
sions dramatiques qui absorbent le plus clair des
énergies
d’une jeunesse ivre de vocables, sont d’effet nul sur les actions et
95
ire ce que l’on approuve plutôt que d’épuiser ses
énergies
à détruire ce que l’on réprouve. Reste, me direz-vous, qu’il faudra b
96
serait une connaissance complète de l’état de nos
énergies
, de nos élans, de notre tonus vital, et de nos vrais désirs actuels.
97
ences européennes s’occupant des transports, de l’
énergie
, de l’économie, de l’écologie, de l’éducation et de la culture, des r
98
on choix, qu’il s’agisse de l’environnement, de l’
énergie
, des transports ou de l’éducation, et le droit au budget autonome pri
99
endance toujours plus obsédante et angoissée de l’
énergie
venue de l’extérieur, et plus précisément d’en bas, « l’énergie matér
100
de l’extérieur, et plus précisément d’en bas, « l’
énergie
matérielle199 », plutonienne, cause majeure d’une pollution dont les
101
cevante marche sur la Lune, ni même la crise de l’
énergie
. Tout ou presque semble indiquer à l’observateur objectif que rien ne
102
frontières cantonales. 199. Appelons ainsi toute
énergie
transformable en masse ou provenant de la matière désintégrée, par op
103
ant de la matière désintégrée, par opposition à l’
énergie
intérieure, celle que l’homme tire de son corps, de son âme, de son e
104
oir avec tel mode de pollution ou de production d’
énergie
? Je répondrai que les régions, la pollution, l’énergie nucléaire ont
105
e ? Je répondrai que les régions, la pollution, l’
énergie
nucléaire ont valeur symbolique en tant que nœuds de problèmes qu’on
106
uissance de tuer ; si l’on ne veut plus tirer son
énergie
de soi-même mais seulement de la désintégration d’un peu de matière,