1 de l’espace, bleue, verte et blanche dans le noir éternel  ; en ce moment de mise en crise majeure de l’espèce humaine par elle-

2 des « équilibres naturels », ou des « conditions éternelles que met la nature à la fertilité durable du sol », comme disait Marx.

3 cas d’accident, que se passerait-il ? insistent d’ éternels inquiets. On leur répond que « toutes les précautions ont été prises 

4 qui a commencé finira. Il faut donc qu’ils soient éternels , et au moins justifiés par une fatalité. Contingents, au contraire, e

5 urrection et le jaillissement du fleuve de la vie éternelle (chap. 21 et 22). L’idée d’un temps qui naît du déroulement d’une seu

6 us aient soif des seules eaux du fleuve de la vie éternelle . Pour la plupart, il leur faut s’agripper à ce qu’ils appellent le co

7 e l’histoire, faute du saut de la foi dans la vie éternelle , l’homme reste prisonnier du temps sempiternel87. Ainsi le millenium,

8 sur une société donnée. 1. La croyance au Retour éternel qui domine les philosophies religieuses de l’Inde, du Tibet, de Ceyla

9 l’alpha et l’oméga, l’instant de la décision et l’ éternel . La religion du progrès évacue le problème : on peut prévoir des inci

10 t des nations : elles ne sont pas quelque chose d’ éternel , elles ont commencé, elles finiront. « Les rois capétiens ne pouvaien

11 de la dissiper, car ce sujet que vous teniez pour éternel a deux-cents ans au plus, et souvent beaucoup moins. Mais derrière ce

12 e de la Vie, bleue, verte et blanche dans le noir éternel … Mais sauver le paysage et les décors n’aura plus de sens si nous ne

13 des hommes, la vie sans poids. Pas encore le Jour éternel . Mais quelque chose comme le miracle du réveil après le cauchemar où