1 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 2. Le grand litige
1 ? Les transports d’énergie sont très chers, de la Bretagne ou de l’Alsace à Paris : pourquoi ne pas en faire l’économie ? Et si
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 3. La clé du système ou l’État-nation
2 x. (Voilà qui est bien sensible dans le cas de la Bretagne . Annexée cette nuit-là, seulement, elle n’a jamais accepté le coup de
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 13. Les variétés de l’expérience régionale
3 ffectivement au cours de la dernière décennie, en Bretagne comme en Corse, dans le pays de Galles comme en Écosse, en Catalogne
4 radoxe des autonomistes : sans les plasticages en Bretagne et les fusillades en Corse, l’opinion française ne se serait pas inté
5 on nomme le régionalisme. Mais ni en Corse, ni en Bretagne il ne s’agit d’abord de la région : une nationalité minoritaire exige
6 l’enseignement, comme l’a fait l’État français en Bretagne et en Alsace, ni celui de l’imposer — et encore moins celui de réunir
7 , et met à la place un terme plus petit, comme la Bretagne , ou plus grand, comme l’Europe, est regardé comme un traître. Pourquo
8 détiennent le mystère de la région. L’âme de la Bretagne est sans nul doute dans la forêt de Brocéliande, auprès de la fontain
9 de la rencontre de Merlin et de Viviane. Mais la Bretagne bretonnante ne vivra pas sans le pays gallo, sans Rennes et Nantes ;
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 14. L’autogestion politique
10 h, 1971. 175. Pour la France : Alsace, Flandres, Bretagne , Pays basque, Roussillon catalan, Limousin, Toulousain, Provence, Cor
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 15. Stratégie
11 7), peut-être en URSS. L’Écosse, la Catalogne, la Bretagne , l’Euskadi et le pays de Galles demandent à devenir « immédiats à l’E