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oissance démographique : il faudra bien qu’elle s’
arrête
un jour Partons de l’explosion démographique, la bombe P, dont tou
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l’an 2600, les humains se touchent tous, et là s’
arrêtent
forcément mes calculs. « On pourra nourrir tout le monde, m’affirme u
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téticien, mais il faudra manger debout. » Tout s’
arrêtera
d’ailleurs, par la force des choses, bien avant qu’on en arrive là. U
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’il faudra bien que la croissance démographique s’
arrête
un jour3. Ici paraît l’idée de limite, celle-là même qui déclare la
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deux raisons : elle sent qu’elle sera forcée de s’
arrêter
(par manque de place et de ressources) avant sa perte consommée ; et
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utant plus sérieuses, et nous ne pouvons plus les
arrêter
. La proportion des moins de 15 ans dans les pays neufs du tiers-monde
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remière fois de ralentir, de contrôler ou mieux d’
arrêter
la croissance, ils ont tous dit d’abord « Voyons, c’est impossible !
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e industrielle. Mais une croissance qui ne peut s’
arrêter
que par l’épuisement de ce dont elle se nourrit, rien d’étonnant si l
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ues qu’il fomente. Il attend que des catastrophes
arrêtent
ici ou là sa course folle, montrant aux survivants (dont il sera, bie
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à Marcoule où deux réacteurs (tiens, déjà ?) sont
arrêtés
. — Mais « l’étude d’un bon procédé » nous met-elle à l’abri des radi
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ces nécropoles atomiques !45 Qui croire ?
Arrêtons
-nous ici : 1973. En ce point du débat nucléaire, toute médiation para
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nt. En cas de sécheresse, c’est eux qui devront s’
arrêter
les premiers, ou bien ils menaceraient de faire bouillir nos fleuves
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Total trois heures au moins.) 3. — On me dit qu’
arrêter
la fabrication de « Concorde » mettrait au chômage 40 000 ouvriers56.
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sé la question à propos du Vietnam : pouvons-nous
arrêter
la guerre, alors que l’industrie des armements occupe des centaines d
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commandés. Et tous les imbéciles répètent qu’on n’
arrêtera
pas le progrès. 38. Cf. L’Express, n° spécial déc. 1975, intervie
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onçaient catastrophiques peuvent être modifiés ou
arrêtés
. J’ai trouvé partout, en revanche, l’opposition de l’État-nation à t
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Histoire ? Ce dernier terme justifie tout. « On n’
arrête
pas le progrès », du moins pas pour longtemps, et d’une manière ou de
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c stans, non pas le temps sans fin, mais le temps
arrêté
dans cet instant, comme enseignaient les scolastiques. 88. Il n’y a
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stre imminent et mondial. Pourtant, on ne l’a pas
arrêté
. Voilà le point qu’il faut élucider. Replaçons-nous dans la situation
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ils savent — « ces salauds-là ». Bien sûr, « on n’
arrête
pas le progrès » mais chacun sait que « ça se paie » et tant pis pour
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r. C’est en récusant ces principes de communautés
arrêtées
, en inversant ces clichés un par un, que nous pourrons peut-être nous
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ci enfin ceux qui répètent en chœur parlé qu’on n’
arrête
pas le progrès, et qui l’arrêtent par là même à l’idée que s’en faisa
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œur parlé qu’on n’arrête pas le progrès, et qui l’
arrêtent
par là même à l’idée que s’en faisait le siècle dernier. Je réponds a
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majeurs : 1. — Nulle pollution n’a jamais été
arrêtée
par une frontière nationale : ni les tempêtes, ni les contagions, ni
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ornés par leurs frontières (où même les fleuves s’
arrêtaient
sur nos « croquis » scolaires) ? Il ne dépend souvent que de l’enseig
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on voit bien que les rivières et les fleuves ne s’
arrêtent
pas à la frontière voisine186, que les douaniers sont sans pouvoir su
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si faut-il aller beaucoup plus vite, si l’on veut
arrêter
le « progrès » juste avant qu’il atteigne le point de non-retour, le
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is refuse elle aussi les mesures nécessaires pour
arrêter
la pollution, parce qu’elle redoute leurs incidences sur le pouvoir d
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ropéen, débattront de leurs problèmes communs, et
arrêteront
d’un commun accord les mesures correspondant à leurs circonstances pr